En partant de Baden, j’avais d’ab… Que par monsieur Éloi, que par mon… Je pourrais, attendant des fortune… Aller prendre ma place au bateau d… Ce qui m’avait conduit, plein d’un…
On les voit s’en venir en bandes, À la prime aube, tout le long, Le long des palus et des landes, Glissant de-ci, de-là, selon Leur humeur folâtre et changeante.
… L’amour a transmis jusqu’à nous Les noms de Pétrarque et de Laure… Ah ! d’eux si nous parlons encore, Combien l’on parlera de vous !
Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer
Fable XVII, Livre IV. Une ourse avait mis bas ; ourses d… D’accourir pour voir le poupon. « Est-ce une fille ? Est-ce un ga… Est-il bien gros ? Est-il bien sa…
L’Arrhée parle. Ces croupes que fouaille Un vent forcené, Ce sont les Mené De la Cornouaille.
Dans ce bar dont la porte Sans cesse bat au vent Une affiche écarlate Vante un autre savon Dansez dansez ma chère
Sous l’épais sycomore, ô vierge, o… Dans le jardin fleuri, tiède et si… Pour goûter la saveur de tes lèvre… Un papillon d’azur vers toi descen… C’est l’heure où le soleil blanchi…
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence
1611. Plus Mars que Mars de la Thrace, Mon père victorieux Aux rois les plus glorieux Ota la première place.
(Qui m’avait envoyé des vers.) Les Grecs, en courtois chevaliers… Dans leurs combats, s’il en faut c… Ce qu’ont dit la fable et l’histoi… Changeaient entr’eux de boucliers…
À la Bidassoa, près d’entrer en E… Je descendis, voulant regarder la… Et l’île des Faisans, et l’étrang… Pendant qu’on nous timbrait d’un n… Et je vis, en errant à travers le…
Mon petit grand-père, Comment ça va ? Ma petite grand-mère, Es-ce-que tu es là ? Je n’ai pas grand-chose
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction
Tout est fini : la nuit surgit, le… Le toit s’est écroulé sur l’hôte c… Et près du moribond immobile et qu… On passe, le regard distrait ou so… Ainsi ceux qui l’ont vu jadis en s…
Dedans mon Livre de Pensée, J’ai trouvé écrivant mon cœur La vraie histoire de douleur, De larmes toute enluminée, En effaçant la très aimée
A u pays d’Elisa. Toi qui ronges la plus odorante fe… Chili Chenille du papillon-lune* Toi dont toute la structure épouse
Sous les averses de pluie, les larmes de la vie sont tombées sur moi, m’appelant à la cruauté des gens. Les larmes n’ont pas de couleur, mais leur douleur est multiple. J’ai beaucoup pl...
(Sur la mort de Mgr. le duc d’Orl… 1611. Consolez-vous, madame ; apaisez vo… La France, à qui vos yeux tiennen… Ne dormira jamais d’un paisible so…
Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu
Je suis allé chez le le bottier, Je lui ai dis de faire des chaussu… J’ai mis mes nouvelles chaussures, Mes pieds étaient trop grands, Cela a fait des trous dans mes nou…
Voici que vous avez assez souffert… Assez connu l’amour, le désir, le… L’âpreté du vouloir et la torpeur… L’orgueil d’être vivant et de pleu… Que voulez-vous savoir qui soit pl…
Sur ton front brun comme la nuit, Maître, aucun fil d’argent ne luit… Et nul Décembre sacrilège, Ne met sa neige. Pourtant, dans ton labeur sacré,
Ma fille !... Je t’appelle, hélas… Loin du climat qui te vit naître, Comme une tendre fleur, tu n’as fa… Je viens graver ici des regrets su… Ici sont renfermés, sous cette fro…
Ah ! qu’elle est belle !... qu’ell… Oh ! qu’il doit avoir de bonheur Celui qui respire près d’elle, Celui qui fait battre son cœur ! Et l’on m’a dit : « Non !... cett…
Contrerime XVI. Trottoir de l’Élysé'-Palace Dans la nuit en velours Où nos coeurs nous semblaient si l… Et notre chair si lasse ;
Accourez vite à nos splendides fêt… Ici banquets, là concert, ailleurs… Les diamants rayonnent sur les têt… Le vin rougit les coupes de crista… Ce luxe altier qui partout se déro…
Sur la lande et dans les taillis, Cueillez l’ajonc et la bruyère, Doux compagnons à l’âme fière, Ô jeunes gens de mon pays ! * * * * * *
Derrière le miroir, ce démon aux a… Dans ce discret asile où l’éléganc… Ces roses, ces bijoux, tout ici vo… A ne pas trop vous plaire aux orne… Apprenez le danger des colliers, d…
Je connais plus d’un sot qui loue Comme le trésor le plus beau, L’amour que le bon peuple voue A ceux qui suivent son drapeau. Du peuple que me fait l’estime ?
Contrerime XLIV. Vous qui retournez du Cathai Par les Messageries, Quand vous berçaient à leurs féeri… L’opium ou le thé,
train d’okapis facile aux pleurs l… fouille dans le cheveu des pierres… mille morsures de diamants mille l… fièvre entrelacs d’archet caché à… chatouillant l’ombre des songes pl…
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
Sonnet. Ceux qui ne sont pas nés, les peup… Entendent vaguement, comme de sour… Les grands coups de marteaux et le… Et tous les battements des pieds s…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Bénis soient tes crayons, ô toi, j… Qui de nos Rosalba suivant déjà l… À mes yeux consolés retraces Avec tant d’élégance et de fidélit… Celle qui m’adoucit ma triste céci…
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Reliées par la mer On se rencontre très petites Puis sur les vagues on erre Cherchant notre pépite Tu es attirée par les phares
Blason de coups sur le corps brisé… matin premier des neiges aujourd’hui très informe quand tou… nuits Paul
Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifi… Tout enrichy de marbre et de porph… Qu’Amour bastit chasteau de son e… Où tout le Ciel a mis son artific… Est un rempart, un fort contre le…
Si le doge est son père, ou si c’e… C’est ce dont, pour ma part, je m’… Dès qu’elle a pris naissance, il n… Que ce soit à Venise, ou dans Nap… Elle est belle, voilà l’intéressan…
Si nous n’entendons qu’à la loi, A la loi dure, à la loi stricte, Nous exerçons une vindicte ; Mais qui peut, s’il regarde en soi… Vouloir, sans reculer d’effroi,
Contrerime XXXIV. Ce fut par un soir de l’automne A sa dernière fleur Que l’on nous prit pour Mgr L’Evêque de Bayonne,
J’ai l’âme, pour un lit, de regret… Que nul homme jamais ne fera que j… De la chambre amoureuse, encore mo… Où je vis ma maîtresse, au mois de… Un somme languissant la tenait mi-…
Sonnet. Pour vous, enfants, le monde est u… De leur nid vos vertus, colombes i… Regardent en tremblant les printan… Et cherchent le secret d’y vivre e…
Pour M. le duc de Bellegarde, à u… s’était imaginé qu’il était amoure… 1606. Philis, qui me voit le teint blême… Les sens ravis hors de moi-même,
Au vieux roi de Thulé sa maîtress… Avait fait en mourant don d’une co… Unique souvenir qu’elle lui laissa… Cher et dernier trésor. Dans ce vase, présent d’une main a…
Dans le ciel clair rayé par l’hiro… Le matin qui fleurit comme un divi… Parfume la feuillée étincelante et… Où les nids amoureux, palpitants,… A la cime des bois chantent à plei…
Viens, ô ma Bouteille chérie, Viens enivrer tous mes chagrins. Douce compagne, heureuse amie, Verse dans ma coupe élargie L’oubli des dieux et des humains.
Nous renaissons, ma chère Éléonore… Car c’est mourir que de cesser d’a… Puisse le nœud qui vient de se for… Avec le temps se resserrer encore… Devions-nous croire à ce bruit imp…
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Déjà j’ai vu le verger Se parer de fleurs nouvelles ; Le Zéphyr, toujours léger, Déjà folâtre autour d’elles. L’hiver fuit ; tout va changer,
Il est aux bords déserts du canal… Une lisière étroite aux pentes du… Un rivage sans nom, d’aspect morne… Dont les vaisseaux en mer n’osent… Comme un rideau tendu la montagne…
Le premier jour je me suis dis J’ai vu dans son regard Le début d’une belle histoire Maintenant je te regards et je sou… Car j’ai vu dans tes beaux yeux
Fable XIV, Livre II. Dame Arachné dans un palais Se glissa sans être aperçue ; Sa toile n’était pas tissue Qu’en l’air étaient tous les balai…
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Fable I, Livre I. L’olive, aux champs, n’est pas ce… Le premier qui, sur l’arbre, essay… Fit une mine épouvantable ; Au feu voulut faire jeter
ELLE Là-bas, elle va...à la dérive déversant de partout ses charmes et le mystère que seulement elle p… déchiffrer avec sa sa danse de gaz…
C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;