Jules, votre château, tour vieille… Se mire dans la Loire, à l’endroi… Sous Blois, élargissant son splen… Comme une mère presse un enfant su… En lui parlant tout bas d’une voix…
L’aigle noir aux yeux d’or, prince… Ouvre, dès le premier rayon de l’a… Ses ailes comme un large et sombre… Un instant immobile, il plane, épi… Là-bas, au flanc du roc crevassé,…
Ô charmant petit ange Comme un petit oiseau Tu viens de nous quitter Pour le ciel tout là-haut Vois ta pauvre maman
Que tu es belle la mer ! Ta robe couleur d’azur Ondule au gré du vent Ta parure scintille En paillettes d’argent
Je suis le poète Alain .. Le cob… Qui avait parcouru tant de chemins… J avais quitté la vallée du Lys… Pour le soleil et travailler sur… J avais traversé de nombreuses fro…
(Du camp de Philisbourg, le 3 jui… C’est ici que l’on dort sans lit, Et qu’on prend ses repas par terre… Je vois et j’entends l’atmosphère Qui s’embrase et qui retentit
Je nais parmi une multitude d’autr… On m’abreuve lentement tout pareil… On me voit comme on voit toutes ce… Je meurs seul, je ne suis plus cet… On apprend au jeune enfant à march…
Ame meurtrie, âme peinée, je pleure ma douleur. Douleur de n’avoir su te convaincre, Douleur de pas pouvoir t’emmener sur les chemins de l’autonomie et de l’accomplissement de toi. T’ép...
« Vous je ne vous regarde pas ma vie non plus ne vous regarde pa… J’aime ce que j’aime et cela seul me regarde
Fable IV, Livre V. Mes bons amis, je dois en convenir… Je n’imaginais pas qu’un mort pût… Que bien empaqueté, soit dans cett… Des humains du commun la retraite…
L’homme tourne toute la vie autour… Les souvenirs de l’enfance lui fon… incandescentes. (Il avait été fasc… lin qu’aujourd’hui il retrouve dén… Cette lointaine initiation le penc…
La trompette a sonné. Des tombes… Les pâles habitants ont tout à cou… Ils se lèvent, laissant ces demeur… Où dans l’ombre et la paix leur po… Quelques morts cependant sont rest…
C est la page du mercredi . C est la rubrique du poète Alain… C est quelques feuilles sur le jou… Voilà, j ai été blessé .. mais, j… Je vieillis un peu .. je marche e…
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
Aux bords du Bendemir est un berc… Que jusqu’au dernier jour on me ve… Le chant du rossignol, dans ses fl… Charme les flots du Bendemir. J’aimais à m’y bercer d’un songe f…
O comme tu as changé Ami, mon bel étang Que j’admirais souvent Sur la route en passant O Soleil Levant.
J’aime tes belles mains longues et… Qui, pareilles au lis, n’ont jamai… Mais savent le secret des musiques… Qui parlent à voix lente au cœur é… J’aime tes belles mains longues et…
Toi par qui j’ai senti, pour des h… Ma jeunesse renaître et mon cœur r… Sois bénie à jamais ! J’aime, je… J’ai vécu le meilleur et le plus b… Et vous qui me rendiez le matin de…
Amour, Amour, donne-moi paix ou t… Ou bien retire, et d’un garrot plu… Tranche ma vie et m’avance la mort… Douce est la mort qui vient subite… Soit que le jour ou se couche ou s…
Sonnet LXXXVII. D’où vient cela, Mauny, que tant… D’échapper hors d’ici, plus le dém… (Et que serait-ce donc, si ce n’es… Nous y tient attachés par une douc…
Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…
Fable XII, Livre II. Un jeune enfant n’avait pas remarq… Certain Frelon qui pillait un par… Comme un auteur surpris par le fol… Au milieu de ses jeux, zeste, il s…
Hélas ! hier encor sur mon front,… Sont venus se poser la joie & le p… J’ai ri comme une folle... aujourd… Car ma porte est fermée & j’en ai… Ô pauvre humanité ! J’ai pitié de…
Fable V, Livre II. Plus galant que sensé, Colin voul… Réunir dans son champ l’agréable à… Et cultiver les fleurs au milieu d… Rien n’était, à son gré, plus sage…
0 envies 2000 pensées 10000 émotions quand la vie devient fade et grote… et que mon œil se tourne vers l’ho…
À Ernest Chesneau. J’aime à suivre le bord des petite… Qui cheminent sans bruit dans les… À leur fil d’argent clair viennent… Et tournoyer le vol des jaunes lav…
Au nom du duc de Bellegarde. 1610. Enfin l’ire du ciel et sa fatale e… Dont j’avais repoussé tant d’injus… Ont détruit ma fortune, et, sans m…
Un rayon de soleil a balayé le ven… La fenêtre sale s’est ouverte sur… Le poète avachi, de nouveau inspir… Sa muse vient d’apparaître et se m… La plume se redresse et grave des…
Une nuit noire, par un calme, sous… Le Temps, l’Étendue et le Nombre Sont tombés du noir firmament Dans la mer immobile et sombre. Suaire de silence et d’ombre,
Or, vous voici promus, petits amis… Depuis les temps de ma lettre prem… Promus, disais-je, aux fiers emplo… À votre thèse, en ces jours de lum… Vous voici rois de France ! À vot…
Chanson. Aimons-nous follement ! C’est la chanson, ma mie, Que dit le cœur de ton amant À chaque battement.
Me pardonneras-tu un jour, J’ai perdu ton amitié bêtement. Je me suis rendu coupable. Sans ta permission. J’ai gravé ton ombre par-dessus la…
Quand la mer me prend le cœur Un jour d’automne à Honfleur Je suis celui qui disparaît Comme un crabe qui s’cache sous le… La mer qui perturbe nos habitudes
Sonnet CXXVII. Ici de mille fards la trahison se… Ici mille forfaits pullulent à foi… Ici ne se punit l’homicide ou pois… Et la richesse ici par usure est a…
Parlez-moi de ces femmes dont la d… qui dans un bruit sourd toujours d… L’écuyère dérive sur son patin de… Corsetée de mousse, en maillot de… Marie
Je n’ay plus que les os, un squele… Decharné, denervé, demusclé, depou… Que le trait de la mort sans pardo… Je n’ose voir mes bras que de peur… Apollon et son fils, deux grands m…
Pourquoi semer sur notre route Tant de vains dogmes affligeants ? L’amour s’enfuit sans qu’on s’en d… Lorsqu’il voit venir les vieux ans… On chante une fois la romance
Au loin, Le bleu jaillit dans sa présence en entourant le vert plat éclairé par les ondes jaunes. Entretemps,
Fable XII, Livre III. Ces dés qui, chassés d’un cornet Pour être agités dans un autre, Par un canne ou par un sonnet Règlent ma fortune et la vôtre ;
Synopsis : Poème dédié à la mort… Vers en 6 pieds Oh le maudit chagrin A ceux follement aimés Oh le maudit chagrin
À Joseph Bertrand. Quand un ardent soleil s’éleva de… Tous les glorieux morts n’étaient… Habits galonnés d’or et capotes de… S’étalaient par lambeaux richement…
Heure bleue et une flaque désolée… J’ai remboursé toutes mes dettes Et je reste cette mendiante pour u… Exilée sur le quai de Buxtehude Heure bleue et le printemps tarde…
Non, non, je ne suis pas de ces fe… Et rendent ce dernier service à le… Pour qu’ils vivent en paix & sans… Vois-tu, ces dévoûments sont niais… Les hommes, je le sais, se complai…
Ô chevrier ! ce bois est cher aux… Point de houx épineux ni de ronces… À travers l’hyacinthe et le souche… Une source sacrée y germe et coule… Midi brûle là-bas où, sur les herb…
Aux Dames, pour les demi-Dieux ma… Neptune, dans le carrousel des qua… En mars 1606. Ô qu’une sagesse profonde Aux aventures de ce monde
Je l’ai dit quelque part, les pens… Épiant l’inconnu dans ses plus noi… Ont tous étudié la formation d’Ève… L’un en fit son problème et l’autr… L’horreur sacrée étant dans tout,…
Je réfléchissais tellement vite Que le temps semblait ralentir. J’allais très vite que je sentis, Pour une fois de toute ma vie, Les mains nues et gourdes,
Dans le ciel clair rayé par l’hiro… Le matin qui fleurit comme un divi… Parfume la feuillée étincelante et… Où les nids amoureux, palpitants,… A la cime des bois chantent à plei…
« Presque un siècle entier sans co… A passé sur moi, vrai lion marin. Il faudrait pourtant prendre sa re… Et chercher à terre un abri serein… Quand on a lassé, rude capitaine.
Vieux château de Windsor, dont le… Éveillent d’Albion les harpes roma… Livre au barde étranger quelque gr… Qu’il puisse avec ses chants légue… Naguère j’ai cru voir, sous tes po…
Marchand d’habit ! Ce petit homme grisonnant S’en venait encore à l’automne, Le regard vif, l’air avenant, En poussant son cri monotone.
Plus jamais, c’est ce que je songeais à penser puis ça n’a pas duré, un brin de gentillesse a suffit à me faire replonger. J’aime tellement ça, non pas une séduction temporelle et progr...
La nuit répand sur le village Son ombre et sa tranquillité. L’âme inquiète du feuillage Soupire aux souffles de l’été. En face du jour qui s’achève
Rétines lumière éblouissante rayons perçants accablé de chaleur parfum des étaient Pupilles
… L’amour a transmis jusqu’à nous Les noms de Pétrarque et de Laure… Ah ! d’eux si nous parlons encore, Combien l’on parlera de vous !
Au revoir, Comme il est étrange de saluer son… De changer sans comprendre pourquo… On pense enfin réussir à voir. Comme il est étrange de tomber si…
L’Automne Dans les bois où loge les grands c… Se répand ici-bas une curieuse atm… Aujourd’hui je remarque une nature… Qui semble se ternir dans une fati…
Ce doit être bon de mourir, D’expirer, oui, de rendre l’âme, De voir enfin les cieux s’ouvrir ; Oui, bon de rejeter sa flamme Hors d’un corps las qui va pourrir…
Nous ne faisons la cour aux filles… Comme vous qui vivez libres de pas… Si vous ne savez donc notre occupa… Ces dix vers en suivant vous la fe… Suivre son cardinal au Pape, au C…
Que de ses blonds anneaux ton beau… Au ciel, jeune Mary, lève tes gra… Vois-tu sur l’horizon monter ce bl… Dont le soleil naissant teint les… Celui-là dans son sein n’enferme p…