Nos deux coeurs sur la plage Pourraient danser jusqu’à demain Nos rires feront écho aux étoiles Et nos baisers auront le goût de s… Puis, une fois le jour levé
Ciel pur dont la douceur et l’écla… Monts blanchis, golfe calme aux co… Votre splendeur m’attriste, et sou… Votre divin sourire a fait monter… Du compagnon chéri que m’a pris le…
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…
Ma sœur, il ne faut me blâmer Si ma tristesse est sans colère : Je ne peux me sauver d’aimer, Et celui qui m’aima ne doit plus m… Laissez d’un retour imprévu,
Une brise inconnue a passé sur la… La lyre lui répond par un lugubre… Et de vagues terreurs tout bas sem… C’est un souffle de mort ! Je vois sur l’Hélicon un long crê…
Il ne faut plus courir à travers l… Enfant, ni sans congé vous hasarde… Vous êtes très petit, et vous avez… Que l’on vous aide encore à dire v… Que feriez-vous aux champs, si vou…
La Justice tardant à faire la lev… Du cadavre lardé de coups, Les gendarmes, là-bas, mangent sur… En attendant son arrivée. L’énorme assassiné que la vermine…
J’ai, toute cette nuit, ferme et t… Écrit, rêvé,... c’est bien, et je… Je suis content de moi ! La nuit… C’est l’aurore ; mes yeux voient m… Puissé-je ainsi, penché sur l’exis…
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Nous sommes les vagues profondes Où les yeux plongent vainement ; Nous sommes les flots et les ondes Qui déroulent autour des mondes Leur manteau d’azur écumant !
De la Renommée du Roi Henri le G… Ballet de la Reine, dansé au mois… Pleine de langues et de voix, Ô roi, le miracle des rois, Je viens de voir toute la terre,
Ce temps est si sévère Qu’on n’ose pas Remplir deux fois son verre Dans un repas, Ni céder à l’ivresse
Je veux d’une plainte suave Exhaler ma peine au soleil Et que mon chant soit pur et grave Comme une campagne au réveil : Une campagne solitaire
Quoi ! ce n’est plus pour lui, ce… Que je vois arriver ces jours long… Ce n’est plus son amour que je che… Ce n’est plus cette voix si puissa… Qui m’implore dans l’ombre, ou que…
Épigramme. Quand je te caresse, Angélique, Tu dis que ma barbe te pique ; Aimes-tu tant le poil follet ? Baise le trou par où je pète,
Contrerime V. Dans le lit vaste et dévasté J’ouvre les yeux près d’elle ; Je l’effleure : un songe infidèle L’embrasse à mon côté.
Ce texte est une traduction de… anonyme de piété chrétienne de la… (Que la vérité parle au dedans du… Parle, parle, Seigneur, ton servi… Je dis ton serviteur, car enfin je…
Dans l’immobilité, je me retrouve. Une figure solitaire, suspendue da… Le monde extérieur s’éloigne, un b… Je succombe au calme et laisse mes… Comme une rivière, mon esprit s’éc…
(Sur le portrait du P. Bourdaloue… Du plus grand orateur dont la chai… M’envoyer le portrait, illustre pr… C’est me faire un présent qui vaut… J’ai connu Bourdaloue ; et dès me…
Terre, que fallut-il quand l’Euro… Ne pouvait retenir la France débo… Et grosse de fléaux ; Quand les trônes des rois chancela… Quand nos champs se vidaient, quan…
Ces premiers froids que l’on récha… —Et des platanes d’or le long gémi… —Et l’alcôve au lit noir qui datai… Où ton corps, au hasard de l’ombre… S’illuminait parfois d’un rouge éc…
Pour M. Le duc de Bellegarde. Sur la guérison de Chrysante. 1616. Les destins sont vaincus, et le fl… De leur main insolente a fait tomb…
Nourrissez votre cœur du feu des c… Filles du Fils de l’homme, aux ye… Aimez celle qu’un peuple appelle p… Avant Notre-Seigneur, savoir vivr… Quelque chose au dehors, mais au f…
Je me suis dit les mots câlins Que personne ne peut me dire, Ceux qui ne parlent pas en vain Au cœur qui se ronge et soupire. Allez, je me suis bien aimée,
Il y plusieurs manières D’un message transmettre De donner des informations Et de se faire connaître Sans jamais faire un son
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Contrerime XV. En souvenir des grandes Indes, Harmonieux décor, La Rafette nourrit d’accord Un paon et quatre dindes.
Sonnet. Ceux qui sont morts d’amour ne mon… Ils n’auraient plus les soirs, les… Et ne goûteraient pas, aux demeure… Un miel qui du baiser pût effacer…
Entends-tu ce long bruit doux comm… Ce cri qu’à l’univers arrache le g… Trop longtemps combattu, Cri tout d’un coup sorti de la fou… Et qui porte à la gloire un nom de…