Ce premier soir, pourquoi, pourquo… M’avais-tu dit, tout abattue, Qu’avant de te donner à moi Un autre que moi t’avait eue ? Et comment, comment, ce soir-là.
Stance XXI. Amour qui n’est qu’amour, qui vit… De soi-même par soi par soi-même a… Qui naquit éternel vif à l’éternit… Qui surpasse en aimant l’âme et la…
Passion ou déraison Entre deux âges Entre deux saisons Du printemps à l’automne De l’aube au crépuscule
Ni eux ni rien pas même Lui Des marches parmi les branches qui… nuages On ne peut pas trouver le numéro n…
Le jour vient de tomber, jour brûl… Qui laisse, en s’éteignant, un cré… Dont la lueur descend en reflet ar… Sur l’enfant chaste et nu, qui mol… Insoucieux, il dort ; pour lui le…
On dit que tout passe par le regar… À la recherche de mon temps perdu,… Au bal de l’hypocrisie, vous porte… Lorsque l’on vous côtoie, nous y l… La spontanéité a décidé de mainten…
Au temps des Empereurs, quand les… Impuissants à garder leur culte et… Pâlissaient, se taisaient sur l’au… Devant le Dieu nouveau dont on av… En ces jours de ruine et d’immense…
Au… A la Lodola, Qu’on était bien aise ! Qu’on était bien là ! Vi…
C’est l’heure où la fatigue au som… Où la brise fraîchit avec l’ombre… Je m’en vais seul et triste en reg… Hélas ! de tout le jour je n’ai pa… Je regarde le ciel pour découvrir…
Permet moi de donner, à ces gens a… À ces costumes cravates, qui voien… Ces montres déréglées, qui sont to… Temps de temps dans ces salles, sa… Pour partir sermonner, la machine…
Soleil, tu disparais sous l’aile d… Et mon triste regard vainement te… Demain ces monts d’azur te reverro… Mais Julia demain ne verra pas l’… De mes jours languissants, que la…
C est l esquisse de la poésie . Les remparts historiques du châtea… Sur la butte rouge de la Cité. Dans la vallée de Sofia et du fle… Dans la brousse .. le vent est ve…
(Les hôtes) —Ouvrez, les gens, ouvrez la porte… Je frappe au seuil et à l’auvent, Ouvrez, les gens, je suis le vent, Qui s’habille de feuilles mortes.
Tu vois .. nous deux sous la douc… La bite .. la chipo dans la bouch… Tu sens mes deux mains . Sur les petits seins . Ma grosse et belle merguez .
Quel jour de chaleur aujourd’hui. Depuis que je t’ai aperçue, Tu m’as frappé, quelle massue, Tes yeux verts m’ont plus que sédu… Le climat s’enflamme, s’embrase,
Tes pieds sont las de leurs course… Voici le temps des regrets. L’automne a troublé les sources Et dévêtu les forêts. Toutes les fleurs que tu cueilles
À M. l’abbé Delille. Ô toi, dont la touchante et sublim… Charme toujours l’oreille en attac… Digne rival, souvent vainqueur, Du chantre fameux d’Ausonie,
Dans l’île Saint-Louis, le long d… L’autre soir je passais ; le ciel… Et l’horizon brumeux eût paru noir… Sans la fraîcheur du vent qui chas… Le soleil se couchait sous de somb…
En la forêt de Longue Attente Chevauchant par divers sentiers M’en vais, cette année présente, Au voyage de Desiriers. Devant sont allés mes fourriers
Je remercie l’air pour remplir mes poumons, en laissant le corps dans la calme absolue ; Je remercie le cœur
Chaque bêtise nous pousse encore,… Nous n’avons pas d’remboursement,… Qu’on le refrai et qu’on fuirait,… Car on n’est pas tous des brigands… Nous on le vole que pour l’brûler,…
Aujourd’hui je me lève, tel un été… La haut je vois ciel, première foi… Virer mélancolie, démarrer sur pis… Fini les bottes de terre, c’est l’… Courons ensemble au loin, demain n…
Nous renaissons, ma chère Éléonore… Car c’est mourir que de cesser d’a… Puisse le nœud qui vient de se for… Avec le temps se resserrer encore… Devions-nous croire à ce bruit imp…
Une heure douce est rare ; il nous… Lorsque sur notre vie elle vient s… Ce matin, près de vous, cette heur… Le soleil se baignait dans une bla… Et du jardin claustral où nous éti…
Entouré de magie, tu vois le préci… Celui des ornements, des chemins d… Ou les cailloux brille, où les ois… Celui des anges blancs, descendu d… Pour annoncer la vie, projette l’a…
Je ne suis pas présente à ses funé… Je ne suis pas allée le voir à l’h… Et que son urne soit d’ambre ou de… Ne changera rien à mon moral Mais je suis et je resterai toujou…
Tableau VIII. Un bosquet, une jeune femme ; À ses genoux un séducteur Qui jure une éternelle flamme, Et qu’elle écoute sans rigueur ;
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Elle est passée la Léa, Avec une aigüe prestance Des plus vraiment majestueuses, Une splendide élégance Des plus ardemment glorieuses,
À Étienne Charavay. Cette relique exhale un parfum d’é… Car la reine d’Écosse, aux lèvres… Qui récitait Ronsard et le missel… Y mit en la touchant un peu de sa…