#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
L’oiseau du Colorado Mange du miel et des gâteaux Du chocolat des mandarines Des dragées des nougatines
Sur l’augurai berceau propice et p… Splendit l’astre advenu au ciel pu… Je vois dans le futur ayant fées p… Le fils de votre arcane étonner le…
La tribu Dupanard Les parents les moutards Habit’ dans un gourbi AVitry
Le verre brille sur le zinc de ce… Maints sanglots montent à la gorge… S’arrêtent et finissent en un écla… Le verre brille sur le zinc de ce… Parce qu’une goutte encore tremble…
Les putains de Marseille ont des sœurs océanes Dont les baisers malsains moisiront votre chair. Dans leur taverne basse un orchestre tzigane Fait valser les péris au bruit lourd de la m...
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m’est chère ? J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étrd-gnant ton om...
Sur le pont du navire la couturièr… couturière taille-moi un grand pao… je fais ce soir ma dernière commun… La dernière hirondelle fait l’auto… D’entre les becs de gaz blêmes
La créole qui danse Encore à minuit dansera jusqu’à l’aurore jusqu’à midi et jusqu’à l’autre nu… Les seins bandés
C’est la pure vérité Comme un manchon Ma belle dame mettez vos deux main… dans le bec de gaz nous y verrons plus clair
Jadis un cœur battait dans cette p… Il ne battait que pour elle Le cœur bat toujours mais on ne sa… Celui-là a clos ses lèvres à jamai… Il ne dit plus
Tous les vieillards dans la maison Ont détraqué leurs pendules, Il fait nuit en toute saison Dans la maison des trop crédules. Ils ont renversé les potiches
La marquise de Saperlipopette Aime la plume et le crépuscule Et les larmes qu’on imite si bien… Aime le mou, le flou, le doux, le…
Si vous alliez à la chasse en auto… Vous rencontreriez sûrement dans l… Un cerf un lièvre et un faisan Cela vous entraînerait loin sûreme… Si vous alliez à la chasse en auto…
Il s’envola au fond de la rivière. Les pierres en bois d’ébèce les fi… Tout rien. Je la hais d’amour comme tout un c… Le mort respirait de grandes bouff…
L’eau ne vêtirait plus ce corps à… La clairière l’absorbe autant que… Mais des griffes ont fait, au vent… Qui tache de son sang le tissu d’u… De la main relevant, sur son front…