Sonnet. Pour une heure de joie unique et s… De larmes précédée et de larmes su… Pour une heure tu peux, tu dois ai… Quel homme, une heure au moins, n’…

À Albert Mérat. J’ai peur d’avril, peur de l’émoi Qu’éveille sa douceur touchante ; Vous qu’elle a troublés comme moi, C’est pour vous seuls que je la ch…

Sonnet. Quelqu’un m’est apparu très loin d… C’était un ouvrier des hautes Pyr… Adolescent perdu dans ces foules t… Qu’écrasait le granit pour Chéops…

Femme, cette colombe au col rose e… Que ta bouche entr’ouverte baise, Ne l’avait pas sentie humecter si… Son bec léger qui vibre d’aise. Elle n’avait jamais reçu de toi to…

On voit dans les sombres écoles Des petits qui pleurent toujours ; Les autres font leurs cabrioles, Eux, ils restent au fond des cours… Leurs blouses sont très bien tirée…

Sonnet. Beauté qui rends pareils à des tem… Es-tu donc à ce point par les dieu… De descendre du ciel sur la prosti… De prêter ta splendeur vivante à d…

À François Coppée. Ô senteur suave et modeste Qu’épanchait le front maternel, Et dont le souvenir nous reste Comme un lointain parfum d’autel,

On ne songe à la Mort que dans so… Au sépulcre éloquent d’un être qui… J’ai, pour m’en pénétrer, fait un… Et je pèse aujourd’hui ma tristess… Je veux, à mon retour de cette som…

Sonnet. Les lignes du labour dans les cham… Fatiguent l’œil, qu’à peine un toi… Et la voûte du ciel tout entière a… Bornant d’un cercle nu la plaine m…

Sonnet. Le Phédon jette en l’âme un céles… Mais rien n’est plus suave au cœur… Délicat embaumeur de la raison fra… Il sent la myrrhe, il coule aussi…

Les lèvres qui veulent s’unir, À force d’art et de constance, Malgré le temps et la distance, Y peuvent toujours parvenir. On se fraye toujours des routes ;

Madame, vous étiez petite, J’avais douze ans ; Vous oubliez vos courtisans Bien vite ! Je ne voyais que vous au jeu

En ce temps-là, je me rappelle Que je ne pouvais concevoir Pourquoi, se pouvant faire belle, Ma mère était toujours en noir. Quand s’ouvrait le bahut plein d’o…

Ces vers, je les dédie aux amis in… À vous, les étrangers en qui je se… Rivaux de ceux que j’aime et qui m… Frères envers qui seuls mon coeur… Et dont les coeurs au mien sont li…

Des saisons la plus désirée Et la plus rapide, ô printemps, Qu’elle m’est longue, ta durée ! Tu possèdes mon adorée, Et je l’attends !