(Après l'arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839).
"Les rayons et les ombres (1840)" Le 12 juillet 1839, à minuit.
#ÉcrivainsFrançais
Donc c’est fait. Dût rugir de hon… Te voilà, nain immonde, accroupi s… Cette gloire est ton trou, ta baug… Toi qui n’as jamais pris la fortun… Te voilà presque assis sur ce haut…
Je prendrai par la main les deux p… J’aime les bois où sont les chevre… Où les cerfs tachetés suivent les… Et se dressent dans l’ombre effray… Car les fauves sont pleins d’une t…
Ô femme, pensée aimante Et coeur souffrant, Vous trouvez la fleur charmante Et l’oiseau grand ; Vous enviez la pelouse
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Une de plus que les muses ; Elles sont DIX. On croirait, Quand leurs jeunes voix confuses Bruissent dans la forêt, Entendre, sous les caresses
Oh ! qui que vous soyez, jeune ou… Si jamais vous n’avez épié le pass… Le soir, d’un pas léger, d’un pas… D’un voile blanc qui glisse et fui… Et, comme un météore au sein des n…
En guerre les guerriers ! Mahomet… Les chiens mordent les pieds du li… Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète di… Ces chancelants soldats qui s’eniv…
Prêtre, ta messe, écho des feux de… Est une chose impie. Derrière toi, le bras ployé sous l… Rit la mort accroupie. Prêtre, on voit frissonner, aux ci…
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
L’enfant avril est le frère De l’enfant amour ; tous deux Travaillent en sens contraire À notre coeur hasardeux. L’enfant amour nous rend traîtres,
C’était une humble église au cintr… L’église où nous entrâmes, Où depuis trois cents ans avaient… Et pleuré bien des âmes. Elle était triste et calme à la ch…
C’est toi, dénaturée ! Oui, te vo… Qui fis taire ton cœur pour écoute… Qui, pour gagner ton ciel de larve… Foulas ton âme aux pieds, mère sou… Et qui, lorsque ton fils se coucha…
Prions ! voici l’ombre sereine. Vers toi, grand Dieu, nos yeux et… Ceux qui t’offrent ici leurs larme… Sont les plus douloureux parmi les… Ils ont le plus d’honneur ayant le…
Orphée, au bois du Caystre, Ecoutait, quand l’astre luit, Le rire obscur et sinistre Des inconnus de la nuit. Phtas, la sibylle thébaine,
II. C’est fini. Le silence est partou… Vive Poulmann césar et Soufflard… On fait des feux de joie avec les… La porte Saint-Denis sous ses hau…