(Après l'arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839).
"Les rayons et les ombres (1840)" Le 12 juillet 1839, à minuit.
#ÉcrivainsFrançais
Le plus haut attentat que puisse f… C’est de lier la France ou de gar… C’est, quel que soit le lieu, le p… D’ôter l’âme à chacun, à tous la l… Dans la curie auguste entrer avec…
L’été, lorsque le jour a fui, de f… La plaine verse au loin un parfum… Les yeux fermés, l’oreille aux rum… On ne dort qu’à demi d’un sommeil… Les astres sont plus purs, l’ombre…
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
Muse, un nommé Ségur, évêque, m’e… Cet homme violet me damne en mauva… Sa prose réjouit les hiboux dans l… Ô Muse, n’ayons point contre lui d… Laissons-lui ce joujou qu’il prend…
Ces hommes qui mourront, foule abj… Sont de la boue avant d’être de la… Oui, certes, ils passeront et mour… Leur vue à l’honnête homme inspire… Envieux, consumés de rages puérile…
J’avais douze ans ; elle en avait… Elle était grande, et, moi, j’étai… Pour lui parler le soir plus à mon… Moi, j’attendais que sa mère sortî… Puis je venais m’asseoir près de s…
Me voici ! c’est moi ! Rochers, p… Frais ruisseaux sous l’herbe échap… Brises qui tout bas aux feuillages Dites des mots entrecoupés ; Nids qu’emplit un tendre murmure,
Quand Auguste mourut, Rome, donna… Sur le mont Palatin lui fit bâtir… Et Livie y dressa des figures d’a… Elle mit au sommet du fronton souv… Neptune et Jupiter, et sous le pé…
Oh ! n’insultez jamais une femme q… Qui sait sous quel fardeau la pauv… Qui sait combien de jours sa faim… Quand le vent du malheur ébranlait… Qui de nous n’a pas vu de ces femm…
Du songe universel notre pensée es… Et le dragon était consulté du pro… Et jadis, dans l’horreur des antre… Entr’ouvrant de leur griffe ou tor… D’effrayants livres pleins de sini…
La face de la bête est terrible ;… L’Ignoré, l’éternel problème éblo… Et ténébreux, que l’homme appelle… On a devant soi l’ombre informe, l… Et le joug, l’esclavage et la rébe…
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
Flebil… OVIDE. Oh ! pourquoi te cacher ? Tu pleu… Devant tes yeux rêveurs qui donc p… Quelle ombre flottait dans ton âme…
III. Plus loin ! allons plus loin !—Au… J’aime à voir dans les champs croî… Et puis, la ville est là ! je l’en… Pour que j’écoute en paix ce que d…
Les paupières des fleurs, de larme… Ces visages brumeux qui, le soir,… Dessinent les vapeurs qui vont se… Ces profils dont l’ébauche apparaî… Ces yeux mystérieux ouverts sur le…