Sed sa… LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je… Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l… Naître, et ne pas savoir que l’enf…

Amour ! « Loi, » dit Jésus. « My… Sait-on quel fil nous lie au firma… Ce que les mains de Dieu dans l’i… Est-on maître d’aimer ? pourquoi d… Demande à l’eau qui court, demande…

Oh ! de mon ardente fièvre Un baiser peut me guérir. Laisse ma lèvre à ta lèvre S’attacher pour y mourir. Ta bouche, c’est le ciel même.

Elle était pâle, et pourtant rose, Petite avec de grands cheveux. Elle disait souvent : je n’ose, Et ne disait jamais : je veux. Le soir, elle prenait ma Bible

Denise, ton mari, notre vieux péda… Se promène ; il s’en va troubler l… Du bel adolescent Avril dans la f… Tout tremble et tout devient pédan… L’âne bougonne un thème au boeuf s…

Ô grande nation, vous avez à cette… Tandis qu’en bas dans l’ombre on s… Un empire qui fait sonner ses étri… Les éblouissements des panaches gu… Une cour où pourrait trôner le roi…

Il te ressemble ; il est terrible… Il est sous l’infini le niveau mag… Il a le mouvement, il a l’immensit… Apaisé d’un rayon et d’un souffle… Tantôt c’est l’harmonie et tantôt…

Une querelle. Pourquoi ? Mon Dieu, parce qu’on s’adore. À peine s’est-on dit Toi Que Vous se hâte d’éclore. Le coeur tire sur son noeud ;

Je me fais paysan comme eux. Cela… Non. Le cercle où chacun se courb… L’homme tissant la paille et la fe… Où le travail fait grave et doux c… Le soir, près du foyer aux lueurs…

Le calife a puni les gens de la mo… Ses soldats sont venus ! Allah le… Car ils n’ont rien laissé de vivan… Maintenant, oh ! quel deuil dans c… Les os de tout un peuple y gisent…

Oh ! Paris est la cité mère ! Paris est le lieu solennel Où le tourbillon éphémère Tourne sur un centre éternel ! Paris ! feu sombre ou pure étoile…

Merci, poète !– au seuil de mes la… Comme un hôte divin, tu viens et t… Et l’auréole d’or de tes vers radi… Brille autour de mon nom comme un… Chante ! Milton chantait ; chante…

Une terre au flanc maigre, âpre, a… Où les vivants pensifs travaillent… Et qui donne à regret à cette race… Un peu de pain pour tant de labeur… Des hommes durs, éclos sur ces sil…

Prêtre, ta messe, écho des feux de… Est une chose impie. Derrière toi, le bras ployé sous l… Rit la mort accroupie. Prêtre, on voit frissonner, aux ci…