On dit que je suis fort malade, Ami ; j’ai déjà l’oeil terni ; Je sens la sinistre accolade Du squelette de l’infini. Sitôt levé, je me recouche ;

VIII. Quand elle prie, un ange est debou… Caressant ses cheveux des plumes d… Essuyant d’un baiser son oeil de p… Venu pour l’écouter sans que l’enf…

C’est bien ; puisqu’au sénat, puis… Tu poses, calme, altier, fier, ta… Puisque tu tends la main à l’argen… Puisque ta conscience est cotée au… Puisque tu prends ton rang dans la…

Une terre au flanc maigre, âpre, a… Où les vivants pensifs travaillent… Et qui donne à regret à cette race… Un peu de pain pour tant de labeur… Des hommes durs, éclos sur ces sil…

Maintenant il se dit :—L’empire e… La victoire est peu sûre.— Il cherche à s’en aller, furtif et… Reste dans la masure ! Tu dis :—Le plafond croule. Ils v…

Autrefois inséparables, Et maintenant séparés. Gaie, elle court dans les prés, La belle aux chants adorables ; La belle aux chants adorés,

Oh ! laissez-moi ! c’est l’heure o… Cache un front inégal sous un cerc… L’heure où l’astre géant rougit et… Le grand bois jaunissant dore seul… On dirait qu’en ces jours où l’aut…

Jeanne songeait, sur l’herbe assis… Je m’approchai :– Dis-moi si tu v… Jeanne ?—car j’obéis à ces charman… Je les guette, et je cherche à com… Tout ce qui peut passer par ces di…

L’âme a des étapes profondes. On se laisse d’abord charmer, Puis convaincre. Ce sont deux mon… Comprendre est au-delà d’aimer. Aimer, comprendre : c’est le faîte…

Un jour Ali passait : les têtes l… Se courbaient au niveau des pieds… Tout le peuple disait : Allah ! Un derviche soudain, cassé par l’â… Fendit la foule, prit son cheval p…

Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…

Si j’étais la feuille que roule L’aile tournoyante du vent, Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, Et qu’on suit de l’oeil en rêvant… Je me livrerais, fraîche encore,

Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,

La salle est magnifique et la tabl… Toujours par quelque bout le banqu… Un magique banquet, sans cesse amo… Dans l’or et le cristal et l’argen… A cette table auguste, où siègent…

Que je prenne un moment de repos ?… Koran, Zend-Avesta, livres sibyll… Talmud, Toldos Jeschut, Védas, l… Brahmes sanglants, santons fléchis… Les contes, les romans, les terreu…