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Aléatoire aléa

Quel aléatoire aléa, cette Léa.
Aussi craquante qu’un beau petit quéléa,
Elle bout le sang de mes veines iléales,
Aussi remplies qu’une cavité palléale.
 
Aussi blanche que les fleurs d’un oléacée,
Aussi dominante qu’un sauvage oléastre,
La galéasse a ouvert le feu, m’a blessé.
Son plomb, malléable, me soumet, quel désastre !
 
L’aiguillon de l’aculéate m’a piqué,
L’amour prend tous les oléates de mon corps,
Vole toutes ses nucléases, me perfore,
Et les éléates ne sauraient l’expliquer.

Poème II du recueil "La Léa"

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