#ÉcrivainsMartiniquais
j’ai de ma salive étroite tenu liq… l’empêchant de se perdre aux squam… j’ai chevauché sur des mers incert… les dauphins mémorants inattentif à tout
Tu n’es pas un toit. Tu ne supportes pas de couvreurs. Tu n’es pas une tombe. Tu ignores tout silo dont tu n’écl… Tu n’es pas une paix.
J’imagine au Congrès ce message sur l’état de l… situation tragique, plus ne nous reste au sous-sol que… mais pour 55 ans de soufre et 20 a…
il faut savoir traverser toute l’é… il faut savoir traverser toute l’é… à briser il faut savoir traverser le défilé… avec pour contrebande le reflet du…
ce coup de couteau d’un vomi de ch… du vent ce semis de guanos stérile au deme… au pas de course la grue solaire s… (hoquet des anges bol ébréché
cré nom de Dieu ils ont assuré l’univers et t… statues des jardins les amours per… qui n’ait arrêté ses nuages à jama… Fixe c’est d’ailleurs le commandem…
je croise mon squelette qu’une faveur de fourmis manians p… (tronc de baobab ou contrefort de… il va sans dire que j’ai eu soin d… elle s’est blottie au cœur d’un ni…
Moi qui Krakatoa moi qui tout mieux que mo… moi qui bêle mieux que cloaque moi… Zambèze ou frénétique ou rhombe ou… je voudrais être de plus en plus h…
Tous ceux dont le cœur est une tac… soit sur les mains une lune striée… d’élipses Tous ceux qui savent dessiner sur… tous ceux dont les doigts sont une…
Je suis un souvenir qui n’atteint… où nous nous contemplons Le ciel lingual a pris sa neuve co… Andes crachant et Mayumbé sacré
Troncs-thyrses Draperies Conciliabules de dieux sylvestres Le papotage hors-monde des fougère… Çà et là un dépoitraillement jusqu…
Et merde comme aucune la mer sans… d’écoute sans pare-éclats sans boy… fer de la nuit si céphalopode ex-v… son sein mon gueuloir d’Antille ve… corymbe des jours corymbe des nuit…
la pierre qui s’émiette en mottes… fécondée la fin de la faim du crachat sur la face et cette histoire parmi laquelle j… durant le jour
La sombre épellation établit sa lo… Ure... Usure ! Barbarie... Blessure !
Fumez marais les images rupestres de l’inconnu vers moi détournent le silencieux… de leur rire Fumez ô marais cœur d’oursin