#ÉcrivainsMartiniquais
toron, taureau du fauve du rétiaire et l’heure et le péril moi l’encor… savoir pas vivre au fait faut-il s… Féroces, c’est ça.
le périple ligote emporte tous les… seule la brume garde ses bras ramè… palanquin et toi c’est une vague qui à mes p… ce bateau-là au fait dans le demi-…
De fibres de plume de bois lisse r… de pierre de cuivre de fer surgir avec au cou le collier de mémoire jusqu’à l’aube débile
Troncs-thyrses Draperies Conciliabules de dieux sylvestres Le papotage hors-monde des fougère… Çà et là un dépoitraillement jusqu…
sans cette colère c’est clair il ne s’agirait plus que d’une dou… mal dilué par les eaux vomi des terres je salue le vieux lion et son cour…
que la sève ne s’égare pas aux fau… on s’étonne moins (vomie de flammes) que la chimère éteinte se traînail… Ravine
Le désespoir n’a pas de nom une main agite mou le drapeau de t… c’est le grand anguillard qui nous… que les gentillesses sont hors de… On tourne en rond.
le tronc enserré de liens l’eau lance de brutaux surgeons dans l’aire avide du courant ce sont surgeons aveugles d’être affamés affamés et claustrés de D…
Il est minuit les sorciers ne sont pas encore ve… les montagnes n’ont pas fondu ai-je assez dit à la terre de ne pas s’installer par crainte…
C’est le mot qui me soutient et frappe sur ma carcasse de cuivr… où la lune dévore dans la soupente… les os barbares des lâches bêtes rôdeuses du menso…
d’en bas de l’entassement furieux… les aubes nouvelles montaient roulant leurs têtes de lionceaux l… le néant niait ce que je voyais à…
à petits pas de pluie de chenilles à petits pas de gorgée de lait à petits pas de roulements à bille… à petits pas de secousse sismique les ignames dans le sol marchent à…
ô lances de nos corps de vin pur vers la femme d’eau passée de l’au… aux sylves des nèfles amollies ^ davier des lymphes mères nourrissant d’amandes douces d’heu…
le verra-t-on enfin endosser sa pr… longue la longue moustache longue… l’eau se trempant de feuilles vert…
C’est cette mince pellicule sur le… mal déposé de la mer c’est ce grand cabrement des cheva… arrêtés à la dernière seconde sur… c’est ce sable noir qui se saboule…