#ÉcrivainsMartiniquais
Quelconque le gâteau de la nuit dé… quelconque une rangée de palmiers… quelconque le plat du ciel servi p… quelconque la jeune main verte du… Espoir
Soleil serpent œil fascinant mon o… et la mer pouilleuse d’îles craqua… lance-flammes et mon corps intact… l’eau exhausse les carcasses de lu… couloir sans pompe des tourbillons…
les pierres leur furent sans mœlle… prirent en haine leur démon troquèrent contre muids fades sans… les pieuvres de leur sang et leurs… dénoncèrent les pactes même les pl…
Les hommes ont taillé dans leurs t… qu’ils ont juchée sur les hauts pl… la faim leur fait un dais une image se dissout dans leur der… ils ont bu jusqu’à l’horreur féroc…
la colline d’un geste mou saupoudr… les confins des mangroves amères. Aussitôt l’enlisement : je l’enten… du bec et reposer plus silencieuse… dans le scandale de ses mandibules…
Fumez marais les images rupestres de l’inconnu vers moi détournent le silencieux… de leur rire Fumez ô marais cœur d’oursin
toute chose plus belle la chancellerie du feu la chancell… une grande culbute de promontoires et d’étoiles une montagne qui se délite en
pour S. Senghor le pont de lianes s’il s’écroule c’est sur cent mille oursins d’éto…
Où quand comment d’où pourquoi oui… suspendre le destin Arrêtez cet homme innocent. Tous de leurre. Il porte mon sang sur les épaules.
Quand les Nègres font la Révolution ils commencent par arra… Champ de Mars des arbres géants qu’ils lanc…
L’hibiscus qui n’est pas autre cho… le grand sabre noir des flamboyant… qu’outrepercés d’une épingle que l… Orion l’extatique papillon que les… fières dont le cou tremble un peu…
Yeux accrochés à leur haut pédoncu… d’anacardier et pus de tannin sur… regard de mauvais fruit comme des… comme une barbe de justicier certes je suis du monde l’être le…
Et sans qu’elle ait daigné séduire… à son corsage s’est délité un bouq… à ses oreilles ont germé des bourg… elle me parle une langue si douce… comprends pas mais à la longue je…
je ne suis pas de ceux qui croient… pas de ceux qui luttent contre la… Vrai la puissance d’une cité n’est… Vrai la puissance d’un regard n’es… étouffée.
A Séville le front percé d’un œillet… au pôle le soleil purulent du noir dans le fjord l’étranglement d’un… dans ma gorge le refus de passer d…