L’Adieu (1873)
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Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Derrière le treillis du passage à… Les filles de Strasbourg composen… Pour Marchai, gai bouquet de figu… Elles portent le court jupon de co… Et la coiffe ancienne aux larges n…
Quand on est heureux, on n’a pas d… On se cache, on s’aime à l’ombre,… Rien de glorieux, pas de fait noto… Le monde oublié ne vous connaît pa… Si quelqu’un pourtant, avec un sou…
Alerte et déliant la langue des pi… Quand viendra, couronné des florai… Avril, qui fait vibrer les âmes et… Avril, le doux poète et faiseur de… Quand l’aubépine, étoile et neige…
Ton front est le foyer où mon âme… Le ciel de la pensée où palpite et… Mon rêve, oiseau chanteur aux long… C’est l’oreiller charmant où ma la… Où mon courage las de vivre se rév…
La haute cathédrale est grise, pre… Et découpe un profil austère sur l… Une voix vague sort des blocs sile… Dans leur langue gothique ils nous… C’est le reflet et c’est la vibran…
Le bonheur, ce n’est point aimer,… Le bonheur, ce n’est point savoir… Est-ce vivre ? La vie est-elle un… Est-ce mourir ? La mort n’est-ell… Ce n’est point se blesser à nos am…
Son désordre était charmant : On eût dit beaucoup de fées Dans un tourbillonnement Légères et décoiffées. Seule, elle, faisait cela ;
Sur la route du fleuve roi La rive veut rire et s’effraie ; Le ruisseau chuchote à part soi Et les peupliers font la haie. Bien que pressé d’aller au but,
L’azur du soir s’éteint rayé de ba… Comme hors de son lit un fleuve dé… La lune se répand, et l’éther inon… Ruisselle, des coteaux aux plaines… Sous le voile muet de ces lueurs d…
Ont-ils le droit, ceux-là qui s’év… Pris de peur et front bas, comme d… D’éteindre leur raison comme on ét… Et de faire la paix dans leur âme… A regarder sans fin l’obscurité pr…
Ta bouche a deux façons charmantes… Deux charmantes façons : le rire e… Si vous voulez savoir celle que je… J’aime mieux celle-ci, mais l’autr…
Les champs sont comme des damiers Teintés partout du blé qui lève. Avril a mis sur les pommiers Sa broderie exquise et brève. Avant que les soleils brutaux
La rue au flanc du roc serpente re… Les filets font de longs treillis… A tous les coins la mer, fermant l… Fait trembler sur les murs une ban… La bonne odeur de l’eau monte avec…
Du wagon sombre où rien ne bouge,… Las des rêves, mauvais compagnons… Le voyageur, avec le jour, chercha… Salue en souriant la campagne qui… Les arbres, les moissons hautes, l…