L’Adieu (1873)
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Nous n’irons plus au bois, les viv… Prud’homme déclarait immorale et c… Ma longue extase aux pieds d’une m… Dont la grâce tenait tous mes jour… Tu n’iras plus au Bois, sinon dan…
Ô salubre et fécond engrais des tr… Ferment mystérieux des sèves étern… Nous te composerons, pourritures c… Sous les gazons plus verts pêle-mê… Quand nous aurons dormi, rigides e…
Fraîches, d’un rose vif et pâle to… Les heures du matin sont l’enfance… Du ciel elles ont vu la ville, leu… Et donnent un baiser à la belle en… Faites de transparence et de virgi…
Il faudrait, pour quitter la ville… Suivant l’eau lentement, sans voil… Sur des nuages blancs aussi blancs… Le ciel d’été, l’azur étendrait so… Serré dans le granit comme dans un…
Oh ! les mauvais dîners charmants Couvrant un seul bout de la table, Les faciles raffinements, Et le bonheur inévitable ! C’était trop chaud, c’était trop f…
Ta bouche a deux façons charmantes… Deux charmantes façons : le rire e… Si vous voulez savoir celle que je… J’aime mieux celle-ci, mais l’autr…
L’ombre bleuâtre et claire au mili… Comme un long voile plein de tache… Cache à peine la terre et flotte a… Le soleil, en rayant la légère épa… Forme des réseaux d’or où palpiten…
Ne leur en veuillons pas : Nos pauvres amoureuses Suivent à petits pas Des routes plus heureuses. Paris ne leur vaut rien :
La ville que je veux serait je ne… Mais loin d’ici, dans l’Inde, ou… L’air bleuirait sa tour de porcela… Portant comme un bouffon des cloch… La maison que je veux serait celle…
Avec ses longs cheveux bouclés, co… L’enfant était assise au milieu du… Et le cœur saluait ce petit être p… Parmi les majestés du grand été su… La petite causait gravement avec l…
La terre est une épouse épanouie e… Le blé, pareil à l’or, lui fait de… Qu’elle secoue au vent, étincelant… Les arbres ont des fruits pesants… Le bon grain dur et jaune a crevé…
Le bonheur, ce n’est point aimer,… Le bonheur, ce n’est point savoir… Est-ce vivre ? La vie est-elle un… Est-ce mourir ? La mort n’est-ell… Ce n’est point se blesser à nos am…
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Alerte et déliant la langue des pi… Quand viendra, couronné des florai… Avril, qui fait vibrer les âmes et… Avril, le doux poète et faiseur de… Quand l’aubépine, étoile et neige…
A m’avouer pour son amant Il faudra bien qu’on s’habitue. —Du marbre pur, rose et charmant. J’ai fait jaillir une statue. J’ai taillé le bloc de façon