L’Adieu (1873)
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Je n’aimerai jamais que toi... A moins qu’une femme ne m’aime, Et ne me donne aussi sa foi Pour me la reprendre de même. Car, vois-tu, nous ne pouvons pas,
Petite, à son école, elle marchait… D’un bâton, tant étaient débiles s… Les enfants, qui sont durs et méch… Riaient. Pour s’amuser ils l’appe… Plus tard, le mal faiblit, mais n’…
Voulant me croire aimé, vainqueur De mon âme triste et chagrine, Un jour que j’écoutais ton cœur Sous la rondeur de ta poitrine ; Loin que ton cœur, oiseau charmant…
Bien qu’elles soient d’un marbre p… Tes mains fines que j’adorai, Et que jamais la dent du hâle N’ait pu mordre leur grain nacré ; Ce n’est pas à quelque statue,
Brisé de mes élans insensés vers l… Triste, j’ai replié les ailes de m… Et, lâchement tombé dans les bras… La volupté m’endort sur ses lèvres… Et pourtant dans mon sang court un…
Pour peu que le vent tombe ou saut… On part, à jeun souvent. C’est l’… C’est la pluie ou bien c’est, roug… Le soleil qui vous brûle au vif av… Ils savent comme un cri s’étrangle…
La mer bleue au-delà des sables im… Un ciel qui peint avec de brûlante… Des filles aux cils bruns, comme d… Dressant leur corps nerveux, belle… De fiers aspects, malgré les feuil…
L’horizon bleu, ceinture immense,… Dont l’âpre Océan vert couvre à m… L’air dans tout son azur n’a qu’un… Et la mer a le pouls régulier d’un… Le cormoran, pêcheur morose et sol…
Ô la plus douce et la meilleure de… Autour du cou deux bras enlacés si… Premier mot du désir, premier rêve… Et premier abandon de toutes les m… Puis vaincus et jetés parmi le flo…
Le grand cintre de l’arche encadre… En attendant Avril et pour la bie… Des fleurs, le ciel sourit et le f… Au premier plan, la rive en pente… Peinte légèrement du bout d’un fin…
Pendant que sur la scène autrefois… Où, l’épée au côté, la cape sur le… Les héros déroulaient leurs fiers… On accorde parfois au Cid une soi… Pendant qu’avec des cris, belle M…
Comme un prêtre jaloux qui pare so… J’étais fier de lui mettre au fron… Et dans l’azur profond et vague de… Je poursuivais l’erreur d’un mirag… C’est que sa bouche était rose, et…
Elles seraient la nacre au bord de… Si les nacres avaient ces humaines… Elles seraient le rose et le satin… Si les roses vivaient aux barreaux… Il semble qu’une fée, en de lointa…
Les champs sont comme des damiers Teintés partout du blé qui lève. Avril a mis sur les pommiers Sa broderie exquise et brève. Avant que les soleils brutaux
Ne leur en veuillons pas : Nos pauvres amoureuses Suivent à petits pas Des routes plus heureuses. Paris ne leur vaut rien :