L’Adieu (1873)
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Que fais-tu là, chère attendue ? L’ennui fâcheux vient-il souvent Rendre à ton doux esprit rêvant Une longue visite indue ? Fais-tu des voyages charmants
Les pieds branlants et lourds et l… Moins utile qu’aimé, vieilli comme… Mais d’un attrait pareil à celui d… Le clavecin repose, immobile et mu… L’œil avait des lueurs et le cœur…
Le grand cintre de l’arche encadre… En attendant Avril et pour la bie… Des fleurs, le ciel sourit et le f… Au premier plan, la rive en pente… Peinte légèrement du bout d’un fin…
Dans l’allée où l’on va souvent, p… Vous avez admiré la gravité folâtr… Des coucous du pays qu’on prendrai… Qui s’ouvrent à la fois, ou chante… Et partent sans ensemble au beau m…
Comme un prêtre jaloux qui pare so… J’étais fier de lui mettre au fron… Et dans l’azur profond et vague de… Je poursuivais l’erreur d’un mirag… C’est que sa bouche était rose, et…
Brisé de mes élans insensés vers l… Triste, j’ai replié les ailes de m… Et, lâchement tombé dans les bras… La volupté m’endort sur ses lèvres… Et pourtant dans mon sang court un…
Le flot de ses cheveux a baisé le… Il en est demeuré rouge comme une… Il brille sur la tête auguste et l… Comme un ruisseau coulant dans un… Les profonds cheveux bruns embaume…
Appuyé sur les reins et sur les co… Des cuisses, au-dessous des mervei… Le ventre épanouit sa tension robu… Et joint par une courbe exacte les… Les tissus de la peau sont à peine…
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Comment aurait-elle pu, Quand je le pouvais à peine, Renouer le fil rompu De notre vie incertaine ? Les baisers sont des baisers.
A l’abri de l’hiver qui jetait vag… Sa clameur, dans la chambre étroit… Où mourait un bouquet fait de ta f… Parmi les visions de l’étourdissem… Pendant qu’avec la joie extrême d’…
Ta bouche était la coupe ardente o… Tes yeux étaient mon ciel, bleu co… Ivre, j’avais laissé l’espérance c… Passer avec l’amour sur la route o… Étant un amoureux, est-ce que je s…
Derrière les brouillards blancs co… La lune, œil endormi qui se souvie… Me sourit, et sa flamme embellit l… Du bois où sourdement court la sèv… Ô nuit ! forêt sans bords, lune, s…
Elles seraient la nacre au bord de… Si les nacres avaient ces humaines… Elles seraient le rose et le satin… Si les roses vivaient aux barreaux… Il semble qu’une fée, en de lointa…
La courbe n’eut jamais d’inflexion… Excepté quand elle est le sein pur… Elles laissent tomber leurs ondes… Dans la succession des lignes sans… Une ombre d’or que font des duvets…