Poésies nouvelles (1835)
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Entre mes doigts guide ce lin doci… Pour mon enfant tourne, léger fuse… Seul tu soutiens sa vie encore déb… Tourne sans bruit auprès de son be… Les entends-tu, chaste Reine des…
J’aime à voir dans ces chants, nob… Qu’enfantait immortels l’aveugle d… L’impétueux Ajax ceindre le fer d… Et parer le Troyen de son baudrie… J’aime, après ces héros de l’antiq…
Alors que sur les monts l’ombre s’… Des jours qui ne sont plus s’éveil… Le temps fuit plus rapide, il entr… Le cortège léger des heures de la… Un songe consolant rend au cœur so…
Sur les monts vaporeux la nuit jet… Mon œil suit lentement sa marche d… Et je vois s’avancer, resplendissa… Son char silencieux. Le vent du soir émeut les feuilles…
D’où vient que l’âme humaine est a… Que jamais ses regards troublés et… N’ont pu s’accoutumer à la marche… Sur l’éternel chemin, chaque borne… Nous attriste. D’où vient ? Je ne…
Qu’elle est gracieuse et belle ! Est-il rien d’aussi beau qu’elle ? Me diras-tu, matelot, Sur ta galère fidèle, Si la galère, ou le flot,
Soleil, tu disparais sous l’aile d… Et mon triste regard vainement te… Demain ces monts d’azur te reverro… Mais Julia demain ne verra pas l’… De mes jours languissants, que la…
Chrétien, la cloche t’appelle, Viens donc, viens donc, Viens prier à la chapelle, Viens chercher le saint pardon. C’est pour l’Église romaine
Que je voudrais te voir, quand la… Annonce le réveil de nos derniers… Ces derniers jours si doux, bien q… A tes côtés, pour moi, seraient pl… Que je voudrais te voir !
Des feux du soir l’horizon se colo… J’entends gronder un tonnerre loin… L’air embrasé semble irriter encor… Ce mal brûlant qui dévore mon sein… Un bruit, un mot, tout accroît mon…
Charme puissant qui nous maîtrise, Esprit léger, Pareil au duvet, que les brises Font voltiger ; Pauvre de tes douceurs absentes,
Qui ! Moi, moi l’envier, la cherc… Moi, d’un immense écho flatter ma… Non, je n’y prétends point, mais j… Et je m’applaudis de mon choix ! Porter dans ses travaux la flamme…
Laissez, ne troublez pas l’heure q… Que je puisse au bonheur reprendre… Innombrables liens dont ma vie est… Pensers de chaque instant, soins d… Laissez, ô laissez-moi !
Pauvre harpe du barde, au lambris… Tu dormais, dès longtemps poudreus… D’un souffle vagabond la brise de… Sur ta corde muette éveille un lég… Telle dort en mon sein cette harpe…
Déjà la rapide journée Fait place aux heures du sommeil, Et du dernier fils de Vannée S’est enfui le dernier soleil. Près du foyer, seule, inactive,