#LesFleursDuMal #ÉcrivainsFrançais
Dans des terrains cendreux, calcin… Comme je me plaignais un jour à la… Et que de ma pensée, en vaguant au… J’aiguisais lentement sur mon coeu… Je vis en plein midi descendre sur…
Ô toi, le plus savant et le plus b… Dieu trahi par le sort et privé de… Ô Satan, prends pitié de ma longue… Ô Prince de l’exil, à qui l’on a f… Et qui, vaincu, toujours te redres…
Vous qui raffolez des squelettes Et des emblèmes détestés, Pour épicer les voluptés, (Fût-ce de simples omelettes !) Vieux Pharaon, ô Monselet !
Fière, autant qu’un vivant, de sa… Avec son gros bouquet, son mouchoi… Elle a la nonchalance et la désinv… D’une coquette maigre aux airs ext… Vit-on jamais au bal une taille pl…
Ah ! ne ralentis pas tes flammes ; Réchauffe mon coeur engourdi, Volupté, torture des âmes ! Diva ! Supplicem exaudî ! Déesse dans l’air répandue,
Une fois, une seule, aimable et do… À mon bras votre bras poli S’appuya (sur le fond ténébreux de… Ce souvenir n’est point pâli); II était tard ; ainsi qu’une méda…
Comme un bétail pensif sur le sabl… Elles tournent leurs yeux vers l’h… Et leurs pieds se cherchant et leu… Ont de douces langueurs et des fri… Les unes, coeurs épris des longues…
Mon berceau s’adossait à la biblio… Babel sombre, où roman, science, f… Tout, la cendre latine et la pouss… Se mêlaient. J’était haut comme u… Deux voix me parlaient. L’une, in…
Race d’Abel, dors, bois et mange… Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fange Rampe et meurs misérablement. Race d’Abel, ton sacrifice
Quand, les deux yeux fermés, en un… Je respire l’odeur de ton sein cha… Je vois se dérouler des rivages he… Qu’éblouissent les feux d’un solei… Une île paresseuse où la nature do…
Les amants des prostituées Sont heureux, dispos et repus ; Quant à moi, mes bras sont rompus Pour avoir étreint des nuées. C’est grâce aux astres nonpareils,
Ils marchent devant moi, ces Yeux… Qu’un Ange très savant a sans dou… Ils marchent, ces divins frères qu… Secouant dans mes yeux leurs feux… Me sauvant de tout piège et de tou…
Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Sois sage, ô ma Douleur, et tiens… Tu réclamais le Soir ; il descend… Une atmosphère obscure enveloppe l… Aux uns portant la paix, aux autre… Pendant que des mortels la multitu…