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La grande vadrouille

Une soirée bilan, d’une chaleur bienveillante,
Un moment hors du temps, pour résumer 4 ans.
Whatsapp vient d’arriver, pour tout organiser,
Digne d’un compte de fée, on va faire un Disney,
Sortez les troubadours, ballons et barbecue,
Préparer pour danser, chanter et raconter,
Elle a beaucoup aidé, a porté des projets,
Poussé à initier, les plus dodus chantiers,
Pressé à travailler, à atteindre l’idéal,
Oublier sa vocale, serait une fin en soi,
Mais on n’oubliera pas, sa détermination.
Le bonheur à l’étroit, rire en base supplice,
Elle est symbole d’espoir, ingénu du couloir,
Devenue si habile, qu’un rien devient magique,
Elle est symbole de flamme, qui a rejoint le ciel,
A changer les nuages, en lumière éternelle,
Une fois sortie des mines, elle a vaincu le pire,
Le pire est à venir, elle l’a vaincu aussi,
Elle a montré au monde, que les hargnes et passions,
Une fois sortis des rites, servent à franchir le nil.
Elle n’a pas attendu, les moissons et mercure,
A jouïr du malin, quoi qu’il affiche demain.
Elle a tenu la route, à vaincu les déroutes,
A passé le portail, du diable de Versailles,
A montré les éclats, dans chaque fleur du parc.
Bref a cherché l’ivresse, plongé dans la sagesse,
A trouvé son marcel, son but et son réel.
Quelle joie de la voir ivre, de finir de fleurir,
Le rite initiatique, troublé parce qu’elle est digne,
D’incarner toute sa vie, continuer à bâtir,
Bref on l’a fais chanté, et peut être presque danser.
Ses yeux plein d’émotion, méritait sa passion,
Pour afficher l’instant, aussi en noir et blanc.
Pure de ces attachments, ces touches de nous présents,
Elle a choisi la voix, d’une vie associative,
Elle s’en prendra des poids, mais en bonne compagnie.
Elle m’a semblé heureuse, gagné à la meuleuse.
Une marmitte de joie, prêt à siffler la tâche,
A venir toute en arme, pour la mettre au défi.
Quoi de pire que la cave, remplie de ses racines
Coupées avec Socrate, brûlées de Blavatsky.
On s’en souviendra pas, juste de son sourire,
D’une certaine malice, à affronter l’ennemi.
D’une jouissance terrible, à chercher les défis.
Sam était notre voisine, sa hache reste notre complice.
Une pote de perdu, une flamme qui s’éteint plus.
Des pauses en solitaire, de ses vannes d’outre-terre.
De ma pédagogie, en plus de sa folie.
Elle a bien trop bâtit, pour arrivederci.
Voilà une qui avance, d’espoir et non-chalence.
Sam et tous ses défis, ont choisi un périple.
Un chemin merveilleux, c’est toujours mieux à deux.
En route vers l’objectif, d’un grand bonheur solide.
Sur un chemin de fête, pavé de cailloux beiges.

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