Cargando...

Potimarron

Potimarron,
Quand je t’ai aperçu, tu étais seul perdu,
Délaissé d’intérêt, en attendant la fête,
Tu as cru jusque là, profiter d’halloween,
Ressembler à tes sœurs, de trois fois ta largeur,
Mais nous avions une charge, celle de tous les nourrir,
D un large cahier des charges, pour un banquet festif,
Ce soir sera d’un sage, sauf nous en symbolisme,
Une fois en agora, après un cour védique,
On reverra à table, notre maître philosophique,
Voilà pourquoi ta tige, va finir en marmitte.
J’ai épousé l’évier, pour te mettre en smoking,
Dépoussiérer ton slip, pour te faire désirer,
Car je n’étais pas seul, à attendre ta couleur,
Après avoir gratté, toutes tes impuretés,
Tu étais l’agora, nous étions deux béats,
Prêt à te remercier, avant de tla couper,
Nos sourires éclatants, une fois couper en deux,
C’était une joie immense, de voir ton cœur fibreux,
Nous n’étions qu’abstinence, avec tes enfants pieux,
Ils n’ont pas eu ta chance, mais sont restés ensemble.
En oubliant l’ silence, on t’a subdivisé,
Réalise ce bienfait, tel un plaisir sadique,
Tu étais un billet, aujourd’hui mille centimes.
C’est une passion chez elle, d’amour tu es multiple,
Ne pense pas à la fuite, j’étais juste derrière,
Quand tu as fusionner, avec le potager,
Cette douce texture orange, on l’a maximisé,
Après avoir pellé, des filles des plus fit,
Elles étaient toutes droites, sauf une qui m’a parlé,
Elle m’a dit j’suis comme toi, différente mais solide,
On l’a donc rendu molle, mais avec du curry.
Dire que j’étais partie, pour une salade de riz,
Puis tu m’as proposé, 5 pots de crème fouetté,
4 oignons et une larme, des épices de chez toi.
Bref 4 heures de cuisson, pour un potimarron,
Une soupe de croûton, et un gâteau maison.

Otras obras de Charaxo...



Top