Poésies livre III
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1614. Sus, debout, la merveille des bell… Allons voir sur les herbes nouvell… Luire un émail dont la vive peintu… Défend à l’art d’imiter la nature.
Pour M. le duc de Bellegarde, À madame la princesse de Conti. 1608. Dure contrainte de partir, À quoi je ne puis consentir,
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
C’est faussement qu’on estime Qu’il ne soit point de beautés Où ne se trouve le crime De se plaire aux nouveautés. Si ma dame avait envie
Ceux-ci, de qui vos yeux admirent… Pour un fameux honneur qu’ils brûl… Partis des bords lointains d’une t… S’en vont au gré d’Amour tout le… Ce grand démon, qui se déplaît
(Sous le nom de Rodanthe.) 1622 ou 1623. Chère beauté que mon âme ravie Comme son pôle va regardant, Quel astre d’ire et d’envie
(M. Puget qui fut ensuite Évêque… 1614. (Le mari parle.) Celle qu’avait Hymen à mon cœur a… Et qui fut ici-bas ce que j’aimais…
Fait conjointement avec la duch… de Bellegarde et le marquis de Ra… 1606. Qu’autres que vous soient désirées… Qu’autres que vous soient adorées,
(Sur sa bienvenue en France.) Peuples, qu’on mette sur la tête Tout ce que la terre a de fleurs ; Peuples, que cette belle fête À jamais tarisse nos pleurs :
(Écrit à Fontainebleau, x<… 1608. Beaux et grands bâtiments d’éterne… Superbes de matière, et d’ouvrages…
Pour M. Le duc de Bellegarde. Sur la guérison de Chrysante. 1616. Les destins sont vaincus, et le fl… De leur main insolente a fait tomb…
Fragments d’une ode. Les peuples, pipés de leur mine, Les voyant ainsi renfermer, Jugeaient qu’ils parlaient de s’ar… Pour conquérir la Palestine,
(Sur la réduction de Marseille… les ordres du duc de Guise, gouver… 1596. Enfin, après tant d’années, Voici l’heureuse saison,
N’espérons plus, mon âme, aux prom… Sa lumière est un verre, et sa fav… Que toujours quelque vent empêche… Quittons ces vanités, lassons-nous… C’est Dieu qui nous fait vivre,
(Pour le premier ballet de monseig… Dauphin, dansé au mois de janvier… Voici de ton État la plus grande m… Ce fils où ta vertu reluit si vive… Approche-toi, mon prince, et vois…