Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
Ô mes concitoyens, que notre histo… De quels récits brillants elle eni… Que de fois elle y va, par ses acc… D’un courage endormi réveiller l’é… Dans ses feuillets brûlants si l’œ…
Non loin des rivages de France, Il est une île au sein des mers : C’est là que veille l’espérance Et le fléau de l’univers ; Et c’est là, qu’abusant du droit d…
Voici ce que je vis : Les arbres… Fuyaient mêlés, ainsi qu’une armée… Et sous moi, comme ému par les ven… Le sol roulait des flots de glèbe… Des clochers conduisaient parmi le…
« Ce roc voûté par art, chef-d’œuv… Ce roc de Tarascon hébergeait aut… Les géants descendus des montagnes… Dont tant d’os excessifs rendent s… Ô seigneur Du Bartas, je suis de…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
Ces nobles d’autrefois dont parlen… Ces preux à fronts de bœuf, à figu… Dont les corps charpentés d’osseme… Semblaient avoir au sol racine et… S’ils revenaient au monde, et qu’i…
Il est un air pour qui je donnerai… Tout Rossini, tout Mozart et tout… Un air très-vieux, languissant et… Qui pour moi seul a des charmes se… Or, chaque fois que je viens à l’e…
Déjà les beaux jours,—la poussière… Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soir… Et rien de vert :—à peine encore Un reflet rougeâtre décore
Dieu est mort ! le ciel est vide..… Pleurez ! enfants, vous n’avez plu… Jean Paul . Quand le Seigneur, levant au ciel… Sous les arbres sacrés, comme font…
Arrête, esprit sublime ! arrête ! Du sort crains de braver les lois… Dieu qui commande à la tempête L’agite sur le front des rois ; Son bras pourra réduire en poudre
Tu demandes pourquoi j’ai tant de… Et sur un col flexible une tête in… C’est que je suis issu de la race… Je retourne les dards contre le di… Oui, je suis de ceux-là qu’inspire…
De mes rêves brillants douce et fr… Ces chants, que produisit un trop… C’est au poète de la France, C’est à toi, Béranger, que j’ose… J’aurais pu, leur donnant un essor…
Napoléon mourant vit une Tête arm… Il pensait à son fils déjà faible… La Tête, c’était donc sa France b… Décapitée aux pieds du César expi… Dieu, qui jugeait cet homme et cet…
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,