Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Le temps, comme un torrent, roule… Rien n’échappe à l’effort de ses f… En vain quelques vieillards, sur l… Derniers et seuls débris qui reste… Roidissant contre lui leur effort…
Une femme est l’amour, la gloire e… Aux enfants qu’elle guide, à l’hom… Elle élève le cœur et calme la sou… Comme un esprit des cieux sur la t… Courbé par le travail ou par la de…
Napoléon mourant vit une Tête arm… Il pensait à son fils déjà faible… La Tête, c’était donc sa France b… Décapitée aux pieds du César expi… Dieu, qui jugeait cet homme et cet…
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
Au sein des vastes mers, un aride… Contre qui vient mugir la colère d… Se hérisse de rocs, effroi des mat… Du Corse belliqueux c’est le rédu… Là naguère le Sort, allumant un f…
Ici l’on passe Des jours enchantés ! L’ennui s’efface Aux coeurs attristés Comme la trace
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
Quiconque a regardé le soleil fixe… Croit voir devant ses yeux voler o… Autour de lui, dans l’air, une tac… Ainsi, tout jeune encore et plus a… Sur la gloire un instant j’osai fi…
Au milieu de la mer qui sépare deu… Un rocher presque nu s’élève sur l… Et son sinistre aspect remplit l’â… C’est là que tant de gloire est pa… Et l’on y voit un nom, une croix,…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Voici trois ans qu’est morte ma gr… La bonne femme,—et, quand on l’ent… Parents, amis, tout le monde pleur… D’une douleur bien vraie et bien a… Moi seul j’errais dans la maison,…
La Treizième revient... C’est enc… Et c’est toujours la seule,—ou c’e… Car es-tu reine, ô toi ! la premiè… Es-tu roi, toi le seul ou le derni… Aimez qui vous aima du berceau dan…
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
À L’ÉTOILE DE LA LÉGION… Imitée de L. Byron. Toi qui répandis tant de gloire Sur les vivants et sur les morts, Phare éclatant de la victoire,