#ÉcrivainsFrançais
A New York ou ailleurs, assis dans son fauteuil de gloire, Lindbergh, l’aviateur, peut voir—comme si c’était lui—l’acteur qui joue le rôle qu’il a lui-même joué dans l’histoire. Au ciné...
Charbonnier est maître chez lui libre d’ouvrir la fenêtre sur les apparences réelles les folles filles de la vie et de laisser la porte ouverte pour les amis de la peinture et de ses mi...
Tes jeunes seins brillaient sous l… mais il a jeté le caillou glacé la froide pierre de la jalousie sur le reflet
Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant
C’est ton perce-héros au doux rire si saoul qui t’envoie un mot pour te dire combien il a été heureux et fier de la fête du Ha-Ha donnée en ton bonheur et où tu as été triomphalement– e...
une lettre de faire peur je l’ai donnée à lire à mon chat ça devait arriver m’a dit le matou gris tant va la cruche à l’eau de vie qu’à la fin du compte elle se meurt enfin nous verrons...
le nez collé contre la vitrine d’un magasin de curiosités, un nain, curieux, regarde une femme debout au milieu du magasin complètement vide. Un incurieux passe sans s’arrêter puis gagn...
Volets ouverts carreaux cassés ensoleillés paroles données promesses échangée… une voix qui se voilait soudain s’… l’autre voix qu’elle caresse conna…
Oubliettes des châteaux de sable Meurtrières fenêtres de l’oubli Tout est toujours pareil Et cependant tout a changé Tu étais nue dans le soleil
Il était comme moi– comme moi j’étais à cette époque : un homme de la nuit, c’est-à-dire qu’on restait des nuits entières à Dôme, et il était comme aujourd’hui, parce que, au fond, qu’e...
Vingt ans après cent ans plus tard toujours les sordides mousquetaire… toujours les mêmes traîneurs de sa… toujours les porteurs de bannière Enfant j’ai vu sur une image
À Paris autrefois, c’est-à-dire il y… La fête ça existait. La musique de carton des manèges à… Pezon, c’était beau, tendre et vio…
Hier soir, au nouveau Vieux-Colombier, nous étions quelques-uns et non des moindres à nous réjouir de l’accueil fait à Ariane Masseur de Gabriel Marcel Prévôt des Marchands de sable à e...
Noyé dans les grandes eaux de la m… Qui suintent horriblement Le long des murs de sa chambre sor… Un mourant Livide abandonné et condamné
En Inde, la mer telle qu’elle est, de… Sur le rivage, un buffle blanc prè… Oue dire de plus, il n’y a qu’à vo… Boubat voit et nous fait voir, la…