#ÉcrivainsFrançais
Les revenants de Pâques ou de la Trinité traînent leurs chaînes de montre jusqu’au
Vous dormez sur vos deux oreilles Comme on dit Moi je me promène et je veille dan… Je vois des ombres j’entends des c… Drôles de cris
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Volets ouverts carreaux cassés ensoleillés paroles données promesses échangée… une voix qui se voilait soudain s’… l’autre voix qu’elle caresse conna…
Cet homme vêtu de blanc Et qui jonglait avec des citrons v… Et aussi des petites cuillers Cela fait déjà très longtemps qu’i… par la mer
La batteuse est arrivée la batteus… Ils ont battu le tambour ils ont battu les tapis ils ont tordu le linge ils l’ont pendu
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Un beau jour Les hommes qui fabriquent mangeron… Et ce qu’ils mangeront sera bon très bon pas bon comme la romaine
Le voici l’agneau si doux Le vrai pain des anges Ou ciel il descend sur nous Dévorons-le tous ! Dieu de clémence odieux vainqueur…
Durement coquettement piquée dans la viande tendre de l’étal une rose rouge de papier hurle à la mort
L’oiseau qui vole si doucement L’oiseau rouge et tiède comme le s… L’oiseau si tendre l’oiseau moqueu… L’oiseau qui soudain prend peur L’oiseau qui soudain se cogne
Vingt ans après cent ans plus tard toujours les sordides mousquetaire… toujours les mêmes traîneurs de sa… toujours les porteurs de bannière Enfant j’ai vu sur une image
Isur le perron de la mairie de la place Saint-Sulpice à Paris où tu passais très vite lorsque j’étais enfant riant dans les feuilles du vent Je te salue oiseau marrant oiseau si heureux...
Il n’avait peur de personne Il n’avait peur de rien Mais un matin un beau matin Il croit voir quelque chose Mais il dit
Pour ceux qui l’aiment La ville se laisse découvrir Nue Pour les autres elle s’habille elle s’endimanche