Le Cœur de la peinture c’est parfois… cœur même de la terre quelque chose qui bat quelque part à

Une maison n’est jamais déserte quand celui qui est parti l’habitait vraiment, ainsi la maison de Fernand Léger où les choses parlent d’elles-mêmes et de lui en même temps. Usuelles et ...

Depuis des mois des ans Des heures et des jours La belle Marion en pleurs Sous l’orme attend l’amour

Un matin dans une cour de la rue de la Colombe ou de la rue des Ursins

Je m’endors avec des oiseaux plein… Et je rêve d’un jardin Mais si tes yeux sont loin des mie… Je m’endors avec des larmes plein… Et mon rêve s’appelle : chagrin.

Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe

Heureux comme la truite remontant… Heureux le cœur du monde Sur son jet d’eau de sang Heureux le limonaire Hurlant dans la poussière

Vous prenez le Métroantipolitain à la Porte du Port

Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...

Il y a de grandes flaques de sang… où s’en va-t-il tout ce sang répan… est-ce la terre qui le boit et qui… drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...

A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou

A la pêche à la baleine, à la pêch… Disait le père d’une voix courrouc… A son fils Prosper, sous l’armoire allongé, A la pêche à la baleine, à la pêch…

C’est la convalescence des vacance… Entre l’arbre du bien et du mal et l’écorce terrestre le doigt de Dieu est resté coincé