#ÉcrivainsFrançais
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
- Je suis heureux ! - De quel droit ? Et on le fusille du regard en atte…
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
Dans les manèges du mensonge Le cheval rouge de ton sourire Tourne Et je suis là debout planté Avec le triste fouet de la réalité
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Qu’est-ce que tu veux c’est le refrain c’est la rengaine Elles vivent de leurs charmes pourquoi en faire un drame de quoi veux-tu qu’elles vivent ces pauvres petites souris Mercure qui ...
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...
Oranges des orangers citrons des c… Mystères fastueux et journaliers La vie est belle je me tue à vous le dire dit la fleur
Georges Ribemont-Dessaignes vient de faire 80 fois le tour du Monde en 365 ou 6 jours
le nez collé contre la vitrine d’un magasin de curiosités, un nain, curieux, regarde une femme debout au milieu du magasin complètement vide. Un incurieux passe sans s’arrêter puis gagn...
Les idées sont dans l’air, dans l’… L’air se liquéfie, l’eau s’alourdi… Perplexes, du haut de leur mirador… les commissaires-priseurs avec leur petit marteau d’ivoire
tournant et qu’on rate un chagrin d’homme sombre paysage choses déjà vues et qui reviennent en disant c’est pas pareil c’est beaucoup mieux orchestre sanglots fantômes à tête de cœur so...
une lettre de faire peur je l’ai donnée à lire à mon chat ça devait arriver m’a dit le matou gris tant va la cruche à l’eau de vie qu’à la fin du compte elle se meurt enfin nous verrons...
Dans la plus fastueuse des misères mon père ma mère apprirent à vivre à cet enfant à vivre comme on rêve et jusqu’à c… naturellement
C’est la fête à Saint-Jeannet et saute le bouchon Victor Hugo avait raison