#ÉcrivainsFrançais
Dans la demeure de la liberté tout… Soudain, de la bouche d’un témoin,… Dans la demeure de la fiancée, c’e… Vide est la corbeille, fermées les… Il n’y a pas de présent, le temps…
Pour ceux qui l’aiment La ville se laisse découvrir Nue Pour les autres elle s’habille elle s’endimanche
Aujourd’hui comme en 1925 comme en 1936 comme… Dauphine quand il allait chercher… Mazarine avant d’être cravaté empo… tué
Un chien fou dans les couloirs d’u… Un arbre ou une pendule un oiseau… Ton visage d’enfant comme une crèm… Ton sourire comme une roue dentée s’est mis à…
Je suis comme je suis Je suis faite^comme ça » Quand j’ai envie de rire Oui je ris, aux éclats J’aime celui qui m’aime
Un jour, dans les petites montagnes des Alpes-Maritimes, du côté d’Entrevaux je crois, Robert Dois-neau « en reportage » accompagnait un berger, ses moutons et ses chiens, lorsqu’un ca...
Place du Carrousel vers la fin d’un beau jour d’été le sang d’un cheval accidenté et dételé ruisselait
Un terrassier ivre de joie de vivre, tout simplement, danse sur un trottoir. Il fait beau, c’est le soir et le goût du bonheur et le désir d’amour lui font oublier l’heure. Est-ce sa je...
Un homme écrit à la machine une le… machine répond à l’homme et à la m… de la destinataire Elle est tellement perfectionnée l… Et l’homme confortablement install…
C’est la fête à Saint-Jeannet et saute le bouchon Victor Hugo avait raison
Visa des visages vies dévisagées p… Il n’y a pas de miroir objectif pa… Ici but le mur où chacun se ressemble en particulier
Contre le mur d’un cimetière Un enfant pisse tellement clair Qu’on croirait dans la lumière Qu’une source jaillit de terre Et lui rentre dans le corps
Inutile, donc, de se demander, en regardant les dessins de Topor : mais où va-t-il chercher tout ça ! Tous les « menus incidents » arrivant à ses lointains prochains, ses semblables et ...
Vers la fin d’un discours extrêmem… le grand homme d’Etat trébuchant sur une belle phrase creuse tombe dedans et désemparé la bouche grande ouve…
- Je suis heureux ! - De quel droit ? Et on le fusille du regard en atte…