Où vas-tu mon enfant avec ces fleu… Sous la pluie Il pleut il mouille Aujourd’hui c’est la fête à la gre… Et la grenouille

Toi tu dors la nuit moi j’ai de l’… Tes yeux fermés ton grand corps al… c’est drôle mais ça me fait pleure… et soudain voilà que tu ris tu ris aux éclats en dormant

Les idées sont dans l’air, dans l’… L’air se liquéfie, l’eau s’alourdi… Perplexes, du haut de leur mirador… les commissaires-priseurs avec leur petit marteau d’ivoire

Il y a de grandes flaques de sang… où s’en va-t-il tout ce sang répan… est-ce la terre qui le boit et qui… drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...

Dieu et c’est en pure perte que ses émissaires, ses commissaires, ses prêtres, ses directeurs de conscience, ses ingénieurs des âmes, ses maîtres à penser se sont évertués à me sauver. ...

Cri du coq Chant du cygne de la nuit Monocorde et fastidieux message Qui me crie Aujourd’hui ça recommence

Immense et rouge Au-dessus du Grand Palais Le soleil d’hiver apparaît

Quand le lionceau déjeune la lionne rajeunit Quand le feu réolame sa part la terre rougit Quand la mort lui parle de l’amour

Il posa son chapeau sur le lit et… Miséricorde pénétra dans la chambr… il mit à vif la cicatrice de l’oub… - Nous avions de quoi vivre

Celui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé. Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y a un bateau ; c’est le bateau sur lequel le cheval est venu...

et les nombres étaient innombrables on dansait sans compter ses pas on entrait dans la danse sans frapper et les nombres étaient innombrables et le ciel était grand ouvert ou tout noir ...

Le docteur Jonquille sur son petit vélo s’en va voir sa belle sa belle Isabelle

Paris 24-26 Palotin 87 Vendremanche 13-15 mai 1960 Que deviens-tu? La dernière fois que je t’ai vu, en voisin, cité Véron, c’était devant le cerisier et nous parlions de lui très affect...