#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
Le bruit de l’aéro se fane à la de… La voix du ciel nouveau, toupie O Orion module Dans le matin chargé d’émotion de… Ma cour sonore
Le manège à vapeur regarde s’en al… Interminablement le paquebot “ To… Il donnerait tout l’or de sa gloir… Pour défaire sur l’eau son voyage…
Je n’aime pas dormir quand ta figu… La nuit, contre mon cou ; Car je pense à la mort laquelle vi… Nous endormir beaucoup. Je mourrai, tu vivras et c’est ce…
Il allait en silence au milieu des… Il feignait d’être sourd à l’unani… Il souriait avec des lèvres défris… Un bandeau noir ceignait les boucl… Et je lui demandai : « Jeune homm…
Tu écartes dans tous les sens tes… Soleil du soir, cerisier en fleurs… Voici de mars en nous que déferlen… Embruns d’amour inconnus sur les d… Ici ne furent semés qu’hommes bleu…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
La minute m’a dit : « Presse-moi… Tu ne sais aujourd’hui si tu seras… Ainsi prends tout le suc qui m’enf… Ne tourne pas la tête et ne passe… Vis-moi !...dans un instant, je se…
C’est permis de fumer. Gare L’Écuyère de Médrano quand tu fumes ton cigare Saute à travers les anneaux.
Anna vous m’aimez bien et je vous… Que de choses nous éloignent en ap… Mais si les jeunes gens savaient q… Pour dépolir entre nous la transpa… On vous a tout ôté ; à moi aussi,
Que la vie est ennuyeuse à cinq heures et demie de ce petit matin en berne Les dianes contagieuses se propagent dans les casernes
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
Cent ans j’avais dormi. Vint le p… Il était gai, naïf, infaillible, é… Mais il m’a réveillé de ce sommeil… Je ne peux pas dire comment.
Avec en lui déjà l’affreux désir q… Pour avoir découvert la tendre ago… Cachant ses traits fanés sous le m… Sous le mensonge exquis de sa rian… Pour avoir respiré, sur ses canaux…
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir