Je vis, je meurs : je me brûle et… J’ai chaud extrême en endurant fro… La vie m’est et trop molle et trop… J’ai grands ennuis entremélés de j… Tout en un coup je ris et je larmo…

Claire Vénus, qui erres par les C… Entends ma voix qui en plaints cha… Tant que ta face au haut du Ciel… Son long travail et souci ennuyeux… Mon oeil veillant s’attendrira bie…

Luth, compagnon de ma calamité, De mes soupirs témoin irréprochabl… De mes ennuis contrôleur véritable… Tu as souvent avec moi lamenté ; Et tant le pleur piteux t’a molest…

Pour le retour du Soleil honorer, Le Zéphir l’air serein lui appare… Et du sommeil l’eau et la terre év… Qui les gardait, l’une de murmurer En doux coulant, l’autre de se par…

Quand vous lirez, ô Dames Lionnoi… Ces miens escrits pleins d’amoureu… Quand mes regrets, ennuis, despits… M’orrez chanter en pitoyables carm… Ne veuillez pas condamner ma simpl…

Oh, si j’étais en ce beau sein rav… De celui-là pour lequel vais moura… Si avec lui vivre le demeurant De mes courts jours ne m’empêchait… Si m’accolant me disait : chère A…

Quand j’aperçois ton blond chef, c… D’un laurier vert, faire un luth s… Que tu pourrais à te suivre contra… Arbres et rocs ; quand je te vois… Et, de vertus DIX mille environn…

Quelle grandeur rend l’homme vénér… Quelle grosseur ? quel poil ? quel… Qui est des yeux le plus emmielleu… Qui fait plus tôt une plaie incura… Quel chant est plus à l’homme conv…

Luisant Soleil, que tu es bienheu… De voir toujours t’Amie la face ! Et toi, sa soeur, qu’Endymion emb… Tant te repais de miel amoureux ! Mars voie Vénus ; Mercure aventur…

Ô doux regards, ô yeux pleins de b… Petits jardins pleins de fleurs am… Où sont d’Amour les flèches dange… Tant à vous voir mon oeil s’est ar… Ô coeur félon, ô rude cruauté,

Diane étant en l’épaisseur d’un bo… Après avoir mainte bête assénée, Prenait le frais, de Nymphe couro… J’allais rêvant, comme fais mainte… Sans y penser, quand j’ouïs une vo…

Las ! que me sert que si parfaitem… Loua jadis ma tresse dorée, Et de mes yeux la beauté comparée A deux Soleils, dont Amour fineme… Tira les traits causes de son tour…

Non havria Ulysse o qualunqu’altr… Piu accorto fù, da quel divino asp… Pien di gratie, d’honor et di risp… Sperato qual i sento affani e guai… Pur, Amour, co i begli ochi tu fa…

On voit mourir toute chose animée, Lors que du corps l’âme subtile pa… Je suis le corps, toi la meilleure… Où es-tu donc, ô âme bien aimée ? Ne me laissez pas si longtemps pâm…

Au temps qu’Amour, d’hommes et Di… Faisait brûler de sa flamme mon co… En embrasant de sa cruelle rage Mon sang, mes os, mon esprit et co… Encore lors je n’avais la puissanc…