Romances (1830)
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Je suis la prière qui passe Sur la terre où rien n’est à moi ; Je suis le ramier dans l’espace, Amour, où je cherche après toi. Effleurant la route féconde,
Quoi ! ce n’est plus pour lui, ce… Que je vois arriver ces jours long… Ce n’est plus son amour que je che… Ce n’est plus cette voix si puissa… Qui m’implore dans l’ombre, ou que…
Venez bien près, plus près, qu’on… Un bruit vole sur vous, mais qu’il… Votre mère en est triste ; elle vo… On dit, mon cher amour, que vous ê… Au lieu d’apprendre en paix la leç…
Ne t’en va pas, reste au rivage ; L’amour le veut, crois-en l’amour. La mort sépare tout un jour : Tu fais comme elle ; ah ! quel cou… Vivre et mourir au même lieu,
Toi qui m’as tout repris jusqu’au… Tu m’as laissé pourtant l’aliment… L’amour ! Et ma mémoire où se nou… Je lui dois le passé ; c’est presq… C’est là que tu m’entends, c’est l…
Beau fantôme de l’innocence, Vêtu de fleurs, Toi qui gardes sous ta puissance Une âme en pleurs ! Ô toi qui devanças nos hontes
Comme une vaine erreur, Comme un riant mensonge, S’évanouit le songe Qui faisait mon bonheur. Ô douce chimère !
Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .
« Ermite, votre chapelle S’ouvre-t-elle au malheureux ? Hélas ! elle me rappelle Un temps cher et douloureux ! C’est moi... de votre colère
Je voudrais aimer autrement, Hélas ! Je voudrais être heureuse… Pour moi l’amour est un tourment, La tendresse m’est douloureuse. Ah ! Que je voudrais être heureus…
Des roses de Lormont la rose la p… Georgina, près des flots nous sour… L’orage, dans la nuit, la toucha d… Et l’Aurore passa triste, sans la… Pure comme une fleur, de sa fragil…
Quand je me sens mourir du poids d… Quand sur moi tout mon sort assemb… D’un courage inutile affranchie et… Je me sauve avec toi dans le fond… Tu grondes ma tristesse, et, trist…
Il est deux Amitiés comme il est… L’une ressemble à l’imprudence ; Faite pour l’âge heureux dont elle… C’est une enfant qui rit toujours. Bruyante, naïve, légère,
Ô champs paternels hérissés de cha… Où glissent le soir des flots de j… Ô frais pâturage où de limpides ea… Font bondir la chèvre et chanter l… Ô terre natale ! à votre nom que j…
Pardonnez-moi, Seigneur, mon visa… Vous qui l’aviez formé de sourire… Mais sous le front joyeux vous avi… Et de vos dons, Seigneur, ce don… C’est le mois envié, c’est le meil…