Romances (1830)
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Quand l’amitié tremblante T’abandonna mon sort, Que ta main bienfaisante Me sauva de la mort, Pour la reconnaissance
Comme un bouton, près d’éclore, D’un seul regard de l’Aurore Attend le bienfait du jour ; Dans l’âge de l’innocence, Séduite par l’espérance,
Il a parlé. Prévoyante ou légère, Sa voix cruelle et qui m’était si… A dit ces mots qui m’atteignaient… « Vous qui savez aimer, ne m’aimez… « Ne m’aimez pas si vous êtes sens…
J’irai, j’irai porter ma couronne… Au jardin de mon père où revit tou… J’y répandrai longtemps mon âme ag… Mon père a des secrets pour vaincr… J’irai, j’irai lui dire au moins a…
Un moment suffira pour payer une a… Le regret plus longtemps ne peut n… Quoi ! L’amour n’a-t-il pas une h… Pour celle dont, peut-être, il ava… Une heure, une heure, amour ! Une…
Ne t’en va pas, reste au rivage ; L’amour le veut, crois-en l’amour. La mort sépare tout un jour : Tu fais comme elle ; ah ! quel cou… Vivre et mourir au même lieu,
L’heure du bal, enfin, se fait ent… Le plaisir sonne, et tu le fais at… Depuis huit jours, il a pris pour… L’heure du bal. Où sont les fleurs dont l’éclat ét…
Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vi… D’un jour d’automne et pâle et lan… Il semblait dire un adieu gémissan… Aux bois qu’il attristait de sa mé… Les oiseaux dans les airs ne chant…
Il a demandé l’heure ; oh ! le tri… Autrefois j’étais seule attentive… Qui peut avant le soir l’appeler a… Hélas ! pour me répondre, il est d… Je l’ai suivi des yeux pour rencon…
Pauvre enfant, dans un jour d’effr… L’amour a-t-il semé ta vie ? Tonnait-il fort ? faisait-il froid… N’entendait-on pas le beffroi ? Ta jeune mère eut-elle envie
Ah ! Si j’étais le cher petit enf… Qu’on aime bien, mais qui pleure s… Gai comme un charme, Sans une larme, J’écouterais chanter l’heure et le…
Regarde : plus de feux, plus de… La lune tout à l’heure à l’hori… Tandis que tu parlais. Victor Hugo. Couchez-vous, petit Paul ! il ple…
Adieu pour toujours, Mes amours ; Ne pleure pas, Tes pleurs ont trop d’appas ! Presse encor ma main ;
Églantine ! Humble fleur, comme mo… Ne crains pas que sur toi j’ose ét… Sans en être arrachée orne un mome… Et comme un doux rayon console mon… Quand les tièdes zéphirs s’endorme…
A ma belle patrie Fais mes adieux, Amour ; La reverrai-je un jour, Cette France chérie ? Toi qui m’as su charmer,