Romances (1830)
#ÉcrivainsFrançais
Qu’est-ce donc qui me trouble, et… Je suis triste à la ville, et m’en… Les plaisirs de mon âge Ne peuvent me sauver de la longueu… Autrefois l’amitié, les charmes de…
Ma demeure est haute, Donnant sur les cieux ; La lune en est l’hôte, Pâle et sérieux : En bas que l’on sonne,
Mon seul amour ! embrasse-moi. Si la mort me veut avant toi, Je bénis Dieu ; tu m’as aimée ! Ce doux hymen eut peu d’instants : Tu vois ; les fleurs n’ont qu’un p…
J’ai voulu ce matin te rapporter d… Mais j’en avais tant pris dans mes… Que les nœuds trop serrés n’ont pu… Les nœuds ont éclaté. Les roses,… Dans le vent, à la mer s’en sont t…
Mes yeux rendus à la lumière, Mais fatigués de tant de pleurs, S’offensent des vives couleurs, Et baissent leur faible paupière. Les voix n’ont plus leurs doux acc…
Dans la foule, Olivier, ne viens… Sois là, mais sans parler, tâche d… Ta voix a des accents qui me font… Ne montre pas l’amour que je ne pu… D’autres yeux que les tiens me reg…
Pauvre enfant, dans un jour d’effr… L’amour a-t-il semé ta vie ? Tonnait-il fort ? faisait-il froid… N’entendait-on pas le beffroi ? Ta jeune mère eut-elle envie
Viens, mon cher Olivier, j’ai deu… Ma mère l’a permis ; ils te rendro… Eh bien ! je n’ose plus. Mais, di… Ma mère l’a permis, regarde dans m… Voilà mes yeux baissés. Dieu ! qu…
Viens, si tu veux rêver d’amour, Viens tresser ta couronne au fond… Voici l’heure, hâtons-nous, ô ma j… Les songes dans les fleurs se cach… De leurs frêles prisons vont sorti…
Ah ! que le monde est difficile ! Hélas ! il n’est pas fait pour moi… Ma sœur, en ton obscur asile, J’étais plus heureuse avec toi. On m’appelle ici l’étrangère ;
Non ! je ne verrai plus de si bell… Que celle où sur tes pas je descen… Où l’eau, parmi les fleurs lenteme… Trouve une eau qui la cherche et s… J’étais bien ! tout parlait à mon…
Image de la mort, effroi du tendre… Sommeil, emporte au loin ce songe… La mort est dans l’adieu d’un ami… Ah ! ne m’avertis pas que l’on se… Dans ton vol escorté de fantômes l…
Allez en paix, mon cher tourment, Vous m’avez assez alarmée, Assez émue, assez charmée... Allez au loin, mon cher tourment, Hélas ! mon invisible aimant !
Je reviens à vos pieds, Marie, Me sauver du malheur d’aimer : L’oraison qui m’avait guérie Ne vaut plus rien pour me calmer. J’avais oublié de la dire
Ah ! Si j’étais le cher petit enf… Qu’on aime bien, mais qui pleure s… Gai comme un charme, Sans une larme, J’écouterais chanter l’heure et le…