Les floraisons matutinales (1897)
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La profondeur du ciel occidental s… D’un jaune paille mûre et feuillag… Et, tant que la lueur claire n’est… Le regard qui se lève est tout éme… Les nuances d’or clair semblent to…
La campagne, comme autrefois, Avec le bahut, et le coffre, Et l’armoire à vitrail, nous offre Le ber à quenouilles de bois. Dans le coeur d’un merisier rouge,
Ils disent qu’au ciel on retrouve Ces chers petits morts tant pleuré… Ah ! savent-ils bien ce qu’éprouve Le cœur des parents éplorés. Ils sont étonnés qu’on se plaigne.
Robert… Paix et repos à toi ! Paix au fro… Au morne et noir chevet des tombea… Paix et visions d’or, doux sommeil… À tes mânes sacrés !
L’érable au torse dur et fort, Ébrèche le fer qui l’assaille, Et, malgré mainte et mainte entail… Résiste aux plus grands coups du… L’hiver, dont le cours s’éternise,
Claire fontaine où rossignole Un rossignol jamais lassé, N’es-tu pas le charmant symbole D’un cher passé ? Source de fraîche mélodie,
Sonnet. Est-ce l’harmonieux orchestre que… Réveille sous la verte ogive des b… Que dis-je ? Les oiseaux ne chant… Et l’avril sur les bois fait couri…
Oui, mon pays est encor France : La fougue, la verve, l’accent, L’âme, l’esprit, le coeur, le sang… Tout nous en donne l’assurance : La France reste toujours France.
Perdu dans les brouillards du soph… Le monde, dans un noir tournoîment… S’effarait, quand soudain retentit… La voix de l’immanente infaillibil… Et l’on vit, aveuglant les fils de…
Terre, dont les âpres rivages Et les promontoires géants Refoulent les vagues sauvages Que soulèvent deux océans ; Terre qui, chaque avril, émerges,
Un soir, je vis une hirondelle Descendre du haut du ciel bleu Et s’élancer à tire d’aile Sous les absides du saint lieu. Et depuis, dans les vapeurs blanch…
Est-ce l’avril ? Sur la colline Rossignole une voix câline, De l’aube au soir. Est-ce le chant de la linotte ? Est-ce une flûte ? est-ce la note
Tu ne nous connais pas, mais elle… Ta vogue et celle des Hading et d… Donc, au rival de Got, salut ! et… Aux sœurs de Jane Essler et de R… Tu ne nous connais pas ; mais notr…
Aux branches que l’air rouille et… Comme par un prodige inouï du sole… Avec plus de langueur et plus de c… Les roses du parterre ouvrent leur… Dans sa corbeille d’or, août cueil…
Je l’ai tout à fait désapprise La berceuse au rythme flottant, Qu’effeuille, par les soirs de bri… La branche d’alisier chantant. Du rameau qu’un souffle balance,