Épigrammes
#ÉcrivainsFrançais
(Sur leur impatience à paraître.) J’ai beau vous arrêter, ma remontr… Allez, partez, mes Vers, dernier… C’est trop languir chez moi dans u… La prison vous déplaît, vous cherc…
Il n’est point de serpent, ni de m… Qui, par l’art imité, ne puisse pl… D’un pinceau délicat l’artifice ag… Du plus affreux objet fait un obje… Ainsi, pour nous charmer, la Trag…
Dans le palais, hier Bilain Voulait gager contre Ménage Qu’il était faux que Saint Sorlin Contre Arnauld eût fait un ouvrag… Il en a fait, j’en sais le temps,
Grand roi, cesse de vaincre, ou je… Tu sais bien que mon style est né… Mais mon esprit, contraint de la d… Sous ton règne étonnant ne veut pl… Tantôt, dans les ardeurs de ce zèl…
(Vers pour mettre en bas du portra… De Paris à Dehli, du couchant à l… Ce fameux voyageur courut plus d’u… De l’Inde et de l’Hydaspe il fréq… Et sur les bords du Gange on le r…
(Écrite à l’âge de dix-sept ans.) Philosophes rêveurs, qui pensez to… Ennemis de Bacchus, rentrez dans… Vos esprits s’en font trop accroir… Allez, vieux fous, allez apprendre…
(Sur les inconvénients des procès.… À quoi bon réveiller mes muses end… Pour tracer aux auteurs des règles… Penses-tu qu’aucun d’eux veuille s… Ni suivre une raison qui parle par…
Agréables jardins où les Zéphyrs… Se trouvent tous les jours au leve… Lieux charmants qui pouvez dans vo… Des plus tristes amants adoucir le… Cessez de rappeler, dans mon âme i…
(En mémoire à Arnauld.) Au pied de cet autel de structure… Gît sans pompe, enfermé dans une v… Le plus savant mortel qui jamais a… Arnauld, qui, sur la grâce instrui…
Quand, la dernière fois, dans le s… La troupe des neuf sœurs, par l’or… Lut l’Iliade et l’Odyssée ; Chacune à le louer se montrant emp… Apprenez un secret qu’ignore l’uni…
Le dos chargé de bois, et le corps… Un pauvre bûcheron, dans l’extrême… Marchait en haletant de peine et d… Enfin, las de souffrir, jetant là… Plutôt que de s’en voir accablé de…
Rare et fameux esprit, dont la fer… Ignore en écrivant le travail et l… Pour qui tient Apollon tous ses t… Et qui sais à quel coin se marquen… Dans les combats d’esprit savant m…
(Sur sa comédie L’école des femme… En vain mille jaloux esprits, Molière, osent avec mépris Censurer ton plus bel ouvrage : Sa charmante naïveté
Grand roi, c’est vainement qu’abju… Pour toi seul désormais j’avais fa… Dès que je prends la plume, Apoll… Semble me dire : Arrête, insensé… Sais-tu dans quels périls aujourd’…
Sans cesse autour de six pendules, De deux montres, de trois cadrans, Lutin, depuis trente et quatre ans… Occupe ses soins ridicules. Mais à ce métier, s’il vous plaît,