"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Soleil tremblant Signal vide et signal à l’éventail… Aux caresses unies d’une main sur… Aux oiseaux entr’ouvrant le livre… Et d’une aile après l’autre entre…
Dans l’amour la vie a encore L’eau pure de ses yeux d’enfant Sa bouche est encore une fleur Qui s’ouvre sans savoir comment Dans l’amour la vie a encore
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
Les armes du sommeil ont creusé da… Les sillons merveilleux qui sépare… À travers le diamant, toute médail… Sous le ciel éclatant, la terre es… Le visage du cœur a perdu ses coul…
Toutes les femmes heureuses ont Retrouvé leur mari—il revient du s… Tant il apporte de chaleur. Il rit et dit bonjour tout douceme… Avant d’embrasser sa merveille.
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Ma fille la papillonne Tu prends la forme de la coupe Où tu bois Où tu reflètes tes ailes.
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
La nuit le froid la solitude On m’enferma soigneusement Mais les branches cherchaient leur… Autour de moi l’herbe trouva le ci… On verrouilla le ciel
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d’aigui… Jours de paupières closes à l’hori… D’heures toutes semblables, jours… Mon esprit qui brillait encore sur…
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine