"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
D’une seule caresse Je te fais briller de tout ton écl…
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
On ne mène pas la vache À la verdure rase et sèche, À la verdure sans caresses. L’herbe qui la reçoit Doit être douce comme un fil de so…
Toutes mes petites amies sont boss… Elles aiment leur mère. Tous mes animaux sont obligatoires… Ils ont des pieds de meuble Et des mains de fenêtre.
L’araignée rapide, Pieds et mains de la peur, Est arrivée. L’araignée, Heureuse de son poids,
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Caresse l’horizon de la nuit, cherche le cœur de jais que l’aube recouvre de chair. Il mettrait dans tes yeux des pensées innocentes, des flammes, des ailes et des verdures que le solei...