"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Nous deux nous tenant par la main Nous nous croyons partout chez nou… Sous l’arbre doux sous le ciel noi… Sous tous les toits au coin du feu Dan la rue vide en plein soleil
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
Trente filles au corps opaque, trente filles divinisées par l’imagination, s’approchent de l’homme qui repose dans la petite vallée de la folie. L’homme en question joue avec ferveur. I...
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Il pose un oiseau sur la table et… * Elle dit l’avenir. Et je suis cha… * Le cœur meurtri, l’âme endolorie,…
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur
Amoureuse au secret derrière ton s… Toute nue les mots d’amour Découvrent tes seins et ton cou Et tes paupières Découvrent toutes les caresse
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…