"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
Le sommeil a pris ton empreinte Et la colore de tes yeux
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Mes sommets étaient à ma taille J’ai roulé dans tous mes ravins Et je suis bien certain que ma vie… Mes amours ont poussé dans un jard… Mes vérités et mes erreurs
D’une seule caresse Je te fais briller de tout ton écl…
“ Le Phénix ” Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont di… Et nul n’y perd et nul n’y gagne
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
Les bêtes qui descendent des faubo… Les oiseaux qui secouent leurs plu… Les terribles ciels jaunes, les nu… Ont, en toute saison, fêté cette s… Elle est belle, statue vivante de…
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
La photographie : un groupe. Si le soleil passait, Si tu bouges. Fards. À l’intérieur, blanche et v… Dans le tunnel.
Au milieu d’une île étonnante Que ses membres traversent Elle vit d’un monde ébloui. La chair que l’on montre aux curie… Attend là comme les récoltes