"Poésie et vérité"
#ÉcrivainsFrançais
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.
Des ailes, des ailes, des ailes Comme dans le chant de Ruckert. Théophile Gautier. Devant mourir, les roses sont plus… Et les oiseaux ont des chants bien…
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
Je me suis séparé de toi Mais l’amour me précédait encore Et quand j’ai tendu les bras La douleur est venue s’y faire plu… Tout le désert à boire
Cette bouche dure, sans larmes, Choisit les femmes Et les yeux de couleur Apprécient Toujours un peu plus de chair.
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
Huit heures, place du Châtelet, dans ce café où les chaises ne sont pas encore rangées, où la vaisselle opaque s’étale dans tous les coins. Je ne saurai jamais si je dors bien. Plus la ...
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil