"Poésie et vérité"
#ÉcrivainsFrançais
Gagnerons-nous la mer avec des clo… Dans nos poches, avec le bruit de… Dans la mer, ou bien serons-nous l… D’une eau plus pure et silencieuse… L’eau se frottant les mains aiguis…
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
Dans l’amour la vie a encore L’eau pure de ses yeux d’enfant Sa bouche est encore une fleur Qui s’ouvre sans savoir comment Dans l’amour la vie a encore
Sous un soleil ressort du paysage Une femme s’emballe Frise son ombre avec ses jambes Et d’elle seule espère les espoirs… Je la trouve sans soupçons sans au…
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Un aigle, sur un rocher, contemple l’horizon béat. Un aigle défend le mouvement des sphères. Couleurs douces de la charité, tristesse, lueurs sur les arbres décharnés, lyre en étoile d’...
Un prêtre de taille moyenne a enfermé sa jeune et jolie femme au solide bon sens dans un lieu discret pour se soustraire aux discussions interminables qui ralentissaient leur coït famil...
La terre est bleue comme une orang… Jamais une erreur les mots ne ment… Ils ne vous donnent plus à chanter Au tour des baisers de s’entendre Les fous et les amours
Charmée... Oh ! Pauvre fille ! Les oiseaux mettent en désordre Le soleil aveuglant du toit, Les oiseaux jouent à remplacer Le soleil plus léger que l’huile
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
Sourire aux visiteurs Qui sortent de leur cachette Quand elle sort elle dort. Chaque jour plus matinale Chaque saison plus nue
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
La plate volupté et le pauvre myst… Que de n’être pas vu. Je vous connais, couleur des arbre… Entre nous est la transparence de… Entre les regards éclatants.
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières