"Premiers Poèmes"
#ÉcrivainsFrançais
Voyage du silence De mes mains à tes yeux Et dans tes cheveux Où des filles d’osier S’adossent au soleil
Bercée de chair frémissante pâture Sur les rives du sang qui déchiren… Le sang nocturne l’a chassée Échevelée la gorge prise aux abus… Victime abandonnée des ombres
Pour ne poser qu’un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse.
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Où la vie se contemple tout est su… Monté les couronnes d’oubli Les vertiges au cœur des métamorph… D’une écriture d’algues solaires L’amour et l’amour.
Les muets sont des menteurs, parle… Je suis vraiment en colère de parl… Et ma parole Éveille des erreurs. Mon petit cœur.
Et la liane verte et bleue qui joi… Le vent à la grande figure Les épargne. Avalanche, à travers… La lumière, nuée d’insectes, vibre… Miracle dévêtu, émiettement, ruptu…
Ma fille la papillonne Tu prends la forme de la coupe Où tu bois Où tu reflètes tes ailes.
Par un froid de papier, les écoliers du vide rougissent à travers les vitres. Un grand rideau sur la façade se gonfle de petits monstres. L’ébéniste est représenté jusqu’aux genoux. Enf...
“ Le Phénix ” Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont di… Et nul n’y perd et nul n’y gagne
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
La rue est bientôt là, À la rue le cheval. Plus beau que le corbeau Il lui faut un chemin. Fine jambe, léger héros
Un mur dénonce un autre mur Et l’ombre me défend de mon ombre… Ô tour de mon amour autour de mon… Tous les murs filaient blanc autou… Toi, que défendais-tu ? Ciel inse…