"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
La valse est jolie, Les grands élans du cœur le sont a… Rues, Une roue valsait éperdument. Des roues, des robes, des chapeaux…
Un oiseau s’envole, II rejette les nues comme un voil… II n’a jamais craint la lumière, Enfermé dans son vol, II n’a jamais eu d’ombre.
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
Un prêtre de taille moyenne a enfermé sa jeune et jolie femme au solide bon sens dans un lieu discret pour se soustraire aux discussions interminables qui ralentissaient leur coït famil...
Amour des fantaisies permises, Du soleil, Des citrons, Du mimosa léger. Clarté des moyens employés :
Il faut que la poule ponde : Poule avec ses fruits mûrs, Poule avec notre gain
Huit heures, place du Châtelet, dans ce café où les chaises ne sont pas encore rangées, où la vaisselle opaque s’étale dans tous les coins. Je ne saurai jamais si je dors bien. Plus la ...
Et la liane verte et bleue qui joi… Le vent à la grande figure Les épargne. Avalanche, à travers… La lumière, nuée d’insectes, vibre… Miracle dévêtu, émiettement, ruptu…
La courbe de tes yeux fait le tour… Un rond de danse et de douceur, Auréole du temps, berceau nocturne… Et si je ne sais plus tout ce que… C’est que tes yeux ne m’ont pas to…
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
La vie entièrement conquise, on po… « Les blés sont bien mûrs et la pl… Sûrs d’être heureux pour toujours,… « Ma plaine est immense et j’y boi… Le rêve viendrait, la nuit, en dor…
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.