"Poésie et vérité"
#ÉcrivainsFrançais
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
C’est ma mère, monsieur, avec ma f… Elles passent là-bas, l’une à l’au… La jeune m’a giflé, la vieille m’a… Je vous jure pourtant que je les a… Mais, constamment, j’avais le beso…
Habitude de marcher, Habitude de courir, Terre couverte et découverte, Plus petite qu’un empire, Bien étendue,
Adieu ! Vaches plus précieuses Que mille bouteilles de lait, Précieuses aux jeunes qui se marie… Et dont la femme est jolie,
Les corbeaux battent la campagne La nuit s’éteint Pour une tête qui s’éveille Les cheveux blancs le dernier rêve Les mains se font jour de leur san…
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Loin, le soleil aiguise sur les pierres sa hâte d’en finir. L’art d’aimer, l’art libéeral, l’art de bien mourir, l’art de penser, l’art incohérent, l’art de fumer, l’art de jouir, l’art...
Je me lève, je suis jeune. Quand je me couche, le soir je suis vieux, je vais mourir dans la nuit. On m’enterrera demain. Et pourtant, le matin je suis jeune. Mes vêtements plus légers,...
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Huit heures, place du Châtelet, dans ce café où les chaises ne sont pas encore rangées, où la vaisselle opaque s’étale dans tous les coins. Je ne saurai jamais si je dors bien. Plus la ...
Le cœur sur l’arbre vous n’aviez q… Sourire et rire, rire et douceur d… Vaincu, vainqueur et lumineux, pur… Haut vers le ciel, avec les arbres… Au loin, geint une belle qui voudr…
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
La rivière que j’ai sous la langue… L’eau qu’on imagine pas, mon petit… Et, les rideaux baissés, parlons.
Il faut que la poule ponde : Poule avec ses fruits mûrs, Poule avec notre gain