Je le sais bien.
"Mourir de ne pas mourir"
#ÉcrivainsFrançais
A fait fondre la neige pure, A fait naître des fleurs dans l’he… Et le soleil est délivré. Ô fille des saisons variées, Tes pieds m’attachent à la terre
Des vers d’amour, j’en ai rarement… Je ne sais pas murmurer : « Je t’… En rythmes doux, qu’inspiré, l’on… Des mots subtils, par lesquels est… Le très cher lien, qui toujours, v…
Du soleil sur le dos, du soleil su… La tête grosse et immobile Comme un canon, Le porc travaille.
L’homme voudrait être sorti D’un fouillis d’ailes. Très haut, le vent coule en criant Le long d’une aile. Mais la mère n’était pas là
Bercée de chair frémissante pâture Sur les rives du sang qui déchiren… Le sang nocturne l’a chassée Échevelée la gorge prise aux abus… Victime abandonnée des ombres
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…
Le rire tenait sa bouteille À la bouche riait la mort Dans tous les lites où l’on dort Le ciel sous tous les corps sommei… Un clair ruban vert à l’oreille
Le petit est malade, le petit va mourir. Lui qui nous a donné la vue, qui a enfermé les obscurités dans les forêts de sapins, qui séchait les rues après l’orage. Il avait, il avait un e...
Une seule corde une seule torche u… Étrangla DIX hommes Brûla un village Avillit un peuple La douce chatte installée dans la…
Un bouquet tout défait brûle les c… Et le plumage entier de la perditi… Rayonne dans la nuit et dans la me… Plus d’horizon, plus de ceinture, Les naufragés, pour la première fo…
Gagnerons-nous la mer avec des clo… Dans nos poches, avec le bruit de… Dans la mer, ou bien serons-nous l… D’une eau plus pure et silencieuse… L’eau se frottant les mains aiguis…
Chien chaud, Tout entier dans la voix, dans les… De ton maître, Prends la vie comme le vent, Avec ton nez.
Un miracle de sable fin Transperce les feuilles les fleurs Éclôt dans les fruits Et comble les ombres Tout est enfin divisé