"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
Hélas ! ma sœur, bête bête, Ce n’est pas à cause de ton chant, De ton chant pour l’œuf Que l’homme te croit bonne.
Loin, le soleil aiguise sur les pierres sa hâte d’en finir. L’art d’aimer, l’art libéeral, l’art de bien mourir, l’art de penser, l’art incohérent, l’art de fumer, l’art de jouir, l’art...
Habitude de marcher, Habitude de courir, Terre couverte et découverte, Plus petite qu’un empire, Bien étendue,
Pour ne poser qu’un doigt dessus Le chat est bien trop grosse bête. Sa queue rejoint sa tête, Il tourne dans ce cercle Et se répond à la caresse.
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…
La vie entièrement conquise, on po… « Les blés sont bien mûrs et la pl… Sûrs d’être heureux pour toujours,… « Ma plaine est immense et j’y boi… Le rêve viendrait, la nuit, en dor…
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues
Parfaitement éveillée et très bell… A-t-elle le pain qu’il lui faut Elle n’a que sa beauté Cet éclat perché haut comme une ét… Pourtant la terre est là
Tu ne peux plus travailler. Rêve, Les yeux ouverts, les mains ouvert… Dans le désert, Dans le désert qui joue Avec les animaux—les inutiles.
Des ailes, des ailes, des ailes Comme dans le chant de Ruckert. Théophile Gautier. Devant mourir, les roses sont plus… Et les oiseaux ont des chants bien…
Dans quelques secondes Le peintre et son modèle Prendront la fuite. Plus de vertus Ou moins de malheurs
J’ai regardé devant moi Dans la foule je t’ai vue Parmi les blés je t’ai vue Sous un arbre je t’ai vue Au bout de tous mes voyages