Les Hommes et leurs animaux
"Les Animaux et leurs hommes, les hommes et leurs animaux"
#ÉcrivainsFrançais
Dressé par la famine L’enfant répond toujours je mange Viens-tu je mange Dors-tu je mange.
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
Nous deux nous tenant par la main Nous nous croyons partout chez nou… Sous l’arbre doux sous le ciel noi… Sous tous les toits au coin du feu Dan la rue vide en plein soleil
Rouge amoureuse Pour prendre part à ton plaisir Je me colore de douleur. J’ai vécu tu fermes les yeux Tu t’enfermes en moi
J’ai peint des terres désolées et les hommes sont fatigués de la joie toujours éloignée. J’ai peint des terres désolées où les hommes ont leurs palais.
La vie entièrement conquise, on po… « Les blés sont bien mûrs et la pl… Sûrs d’être heureux pour toujours,… « Ma plaine est immense et j’y boi… Le rêve viendrait, la nuit, en dor…
Un oiseau s’envole, II rejette les nues comme un voil… II n’a jamais craint la lumière, Enfermé dans son vol, II n’a jamais eu d’ombre.
L’heure qui tremble au front du te… Un bel oiseau léger plus vif qu’un… Traîne sur un miroir un cadavre sa… Des boules de soleil adoucissent s… Et le vent de son vol affole la lu…
Ton rire est comme un tourbillon d… Froissant l’air chaud, l’enveloppa… Amer, tu annules toute tragédie, Et ton souci d’être un homme, ton… Je voudrais t’enfermer avec ta vie…
Courir et courir délivrance Et tout trouver tout ramasser Délivrance et richesse Courir si vite que le fil casse Au bruit que fait un grand oiseau
Les jeux de ces curieux enfants qu… Jeux simples qui leur font les yeu… Pleins d’une fièvre qui les rappro… Du monde où nous rêvons de faire p… Les jeux d’azur et de nuages
Que voulez-vous la porte était gar… Que voulez-vous nous étions enferm… Que voulez-vous la rue était barré… Que voulez-vous la ville était mat… Que voulez-vous elle était affamée
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,