"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
Je porte un panier de mauvais réve… Oubli du repos fenêtre sévère La forme du corps la forme sans fa… Et les mains bornées les folles dé… Je porte des mains à cueillir Déc…
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
L’instrument Comme tu le vois Espérons Et Espérons
Il y a sur la plage quelques flaqu… Il y a dans les bois des arbres fo… La neige fond dans la montagne Les branches des pommiers brillent… Que le pâle soleil recule
Au milieu d’une île étonnante Que ses membres traversent Elle vit d’un monde ébloui. La chair que l’on montre aux curie… Attend là comme les récoltes
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
Elle ne sait pas tendre des pièges Elle a les yeux sur sa beauté Si simple si simple séduire Et ce sont ses yeux qui l’enchaîne… Et c’est sur moi qu’elle s’appuie
Dans l’amour la vie a encore L’eau pure de ses yeux d’enfant Sa bouche est encore une fleur Qui s’ouvre sans savoir comment Dans l’amour la vie a encore
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Si vous désirez la lourde chair, Arrachez les bras, les mains et le… Déchirez les branches Qui contenaient le ciel, l’espace. Et vous tombez, c’est votre poids.
Huit heures, place du Châtelet, dans ce café où les chaises ne sont pas encore rangées, où la vaisselle opaque s’étale dans tous les coins. Je ne saurai jamais si je dors bien. Plus la ...
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
“ Le Phénix ” Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont di… Et nul n’y perd et nul n’y gagne